Le Bar du Forum
“Prêt à envahir la Banquise !” 5420 messages Inscrit en 2015 |
C'est une association qui s'occupe d'aider des personnes ayant des troubles autistiques dans leur quotidien.
_________________ MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA ! |
“Grozours” 6076 messages Inscrit en 2016 |
Ok, c'est très bien ça comme cause. J'ai un ami qui aimerait être éducateur spécialisé, vu que son petit frère est autiste également, mais bon il a du mal à trouver une formation, son expérience personnelle ne semble pas suffire :/ Peut-être que rejoindre une asso de ce type pourrait l'aider.
_________________ Un petit effort s'il vous plaît : ça = démonstratif ; sa = possessif. La licence Pokémon, tu l'aimes ou tu la quittes .... (enfin c'est compliqué en ce moment...) |
“Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien...” 2978 messages Inscrit en 2017 |
Très bonne idée !
Edit : très bonne cause, je veux dire... |
“Prêt à envahir la Banquise !” 5420 messages Inscrit en 2015 |
Ryfalgoth a écrit:
Ok, c'est très bien ça comme cause. J'ai un ami qui aimerait être éducateur spécialisé, vu que son petit frère est autiste également, mais bon il a du mal à trouver une formation, son expérience personnelle ne semble pas suffire :/ Peut-être que rejoindre une asso de ce type pourrait l'aider. Je pense que ton ami pourrais effectivement trouver sa voie en travaillant pour une asso s'occupant de personnes qui ont ce genre de handicap. L'autisme et le syndrome d'asperger étant des cas qui deviennent de plus en plus fréquent au fil des années, il doit exister pas mal de groupes qui les étudient afin de pouvoir aider des gens atteint de ces troubles à avoir une meilleure vie (du moins, je connais l'asso qui s'occupe du projet de l'appartement où je vais loger, le Service d'Accompagnement Médico-Social pour Adultes Handicapés, ou SAMSAH, et une autre nommer Asperger Family, tous deux situé en Normandie). _________________ MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA ! |
“L'Outsider” 1529 messages Inscrit en 2014 |
Bah, il faut savoir qu'en ce moment, en France (et un peu ailleurs dans le monde), l'autisme est à la mode. Donc ça diagnostique à tout va, ça créer des moyens pour, etc. Suffit de voir les subventions allouées pour se mettre à la page en terme de prise en charge autisme. Mais ça reste toujours bien méconnu. On progresse, mais petit à petit. Bref. Je te souhaite bien du courage pour ça Manchot, c'est cool de vouloir s'investir de la sorte.
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“Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien...” 2978 messages Inscrit en 2017 |
Petite question à toi, Hiroki : est-ce que cette mode du diagnostic en faveur de l'autisme (Asperger, c'est sans doute ironiquement encore mieux ou plus valorisant malgré le handicap) est comparable à celle qu'il y a eu pour les bipolaires ? Voire le régime sans gluten, bien que pour ce dernier ce soit plutôt la conséquence d'une mauvaise information doublé d'un peu d'hypocondrie ?
Donc, comparativement, les modes pour ces deux diagnostics sont-ils équivalentes ou relèvent-elles de processus différents ? Personnellement j'aurais tendance à dire que oui : quand on dit que son fils ou sa fille est autiste asperger, l'idée que cette personne est handicapée est compensé par l'idée que celle-ci est un génie potentiel, qu'elle puisse être surdouée dans une ou deux disciplines spécialisée comme, au hasard, le piano, les mathématiques ou les jeux vidéo... De la même manière, on a tendance à valoriser les bipolaires comme la maladie des génies qu'ils le soient comme bureaux de travail ou créatifs (Churchill, Nina Simone par exemple, mais il suffit de faire une recherche Google pour trouver d'autre exemples) en oubliant au passage que les vrais bipolaires ont aussi des phase dépressives comme l'aurait été... Patrick Dewaere. Enfin bon, tu dois me comprendre : certains clichés sur les malades mentaux ont tellement la vie dure qu'il est plus facile de diagnostiquer un enfant autiste que psychotique, bipolaire que schizophrène... Si un médecin diagnostique un jeune comme schizo, on peut être sûr que sa famille et une partie de son entourage va rejeter soit le diagnostic soit le malade, si cela n'a pas été déjà fait avant la prise en charge ! Par contre, si le médecin arrive en disant que son patient est Asperger ou bipolaire, tout de suite le regard sera différent que pour les premiers à cause des clichés "favorables" à ces deux maladies, les schizos étant, c'est bien connu (ironie) des meurtriers en puissance, les gens ne sachant pas trop faire la différence entre "psychotique" et "psychopathe". Donc, toi, en tant que clinicien (je ne connais pas exactement ton statut en tant que soignant mais je sais que tu travailles dans le milieu) peux-tu confirmer mes impressions en tant que patient, parce que oui, j'ai vu des personnes me retirer de leurs listes d'amis sur FB ou ailleurs à l'énoncé de mon diagnostic, tandis que d'autres refusaient de consulter pour éviter justement d'avoir à faire face à un diagnostic psy par peur de l'étiquette ? Ce serait intéressant d'avoir ton opinion sur le sujet, puisque tu as commencé à l'esquisser... Il y a peut-être d'ailleurs d'autres personnes qui en ont aussi une ? |
“L'Outsider” 1529 messages Inscrit en 2014 |
Alors pour te répondre Sartorius, je dirais oui et non. Mais c'est question de point de vue surtout. Celui des gens de la population générale, et celui de l'état et celui de la médecine.
Pour la bipolarité, je pense que cela est surtout venu d'une connaissance accrue du trouble à une époque et l'amélioration possible de la vie quotidienne. C'est à dire une vie plus ou moins stable et moins affectée par les changements brutaux de phases (et l'intensité de celles-ci naturellement). Certes, cela reste très compliqué et ne concernera pas l'ensemble des gens souffrant de ces troubles, mais pour une partie d'entre eux, je dirais que c'est encore possible. A l'image, en effet, de ces célébrités qui ont réussi à vivre de façon adaptée à l'extérieur, et même à profiter de leur phase un peu haute pour booster leur créativité etc. Pour l'autisme, je dirais que c'est plus une volonté de l'état et de la médecine d'améliorer leur vie aussi. Jusqu'à y a pas si longtemps que ça, l'autisme restait très obscur et la prise en charge n'était pas du tout adaptée. Faute de lieux fait pour s'occuper d'eux, ou de réels connaissances, on les retrouvait en psychiatrie, avec du personnels non formés, où le but n'était que d'essayer de faire au mieux. A présent que l'on comprend un peu mieux, on peut former des gens spécifiquement pour ça, et des lieux ouvrent pour les accueillir. Le bénéfice sur la qualité de vie est indéniable et l'on peut ainsi espérer des progrès même, et une relative insertion sociale pour certains même. Car il ne faut pas oublier que c'est là le but de l'état. L'insertion sociale, que ce soit pour les autistes, ou les bipolaires (et tout le reste de la population en général et les spectre des maladies psychique et physique). Attention, par insertion je n'entends pas avoir des potes et parler à sa caissière. J'entends plutôt des gens qui trouvent une place qui leur convient dans la société, et qui leur permet de travailler peut-être un peu selon leur condition, de ne pas être isolé totalement et de consommer, un peu aussi. Bien sûr, les degrés de ces trucs sont variables et nuancés selon les personnes. Bref. Par contre, comme tu le dis, le problème vient plus du reste des gens. Et c'est pour ça que c'est compliqué. En France, et dans la société occidentale en général, la psychiatrie et les maladies psychiques ont plutôt mauvaises presse, et ont toujours été dépeintes de manières plutôt péjoratives, que ce soit dans la presse, dans la culture, dans l'imagerie populaire, etc. Voilà pourquoi le diagnostique est généralement peu apprécié des personnes souffrantes et de leur entourage. Et je peux comprendre ça. Alors que le diagnostique est plutôt sympa dans le sens où l'on peut mettre un mot sur la souffrance de la personne, et donc faire appel à l'éventail de traitements et de solutions que l'on connaît déjà pour alléger son fardeau. On parle quand même de maladie là. Alors, ça se voit peut-être moins que certaines qui affectent le corps, mais la souffrance est bien présente. C'est d'ailleurs le mot que j'essaie d'utiliser le plus possible quand je parle aux gens, aux familles, etc. "Souffrance". Car c'est avant tout pour cette souffrance, que je vois les gens personnellement. S'il n'y a pas souffrance, ils n'arrivent généralement pas à l'hôpital (qui est mon lieu d'exercice). Mais, et fort heureusement, il y a beaucoup de personne souffrant de troubles psychiques qui vivent à l'extérieur, et dans des conditions plutôt bonnes. Il y a même une partie d'entre eux qui ne connaîtront jamais l'hôpital ou la psychiatrie, et qui arriveront à garder un certain équilibre toute leur vie, sans que l'on s'en rende compte. On dirait d'eux qu'ils sont "bizarres", "particuliers", mais que ça va. Alors qu'ils souffrent peut-être aussi d'un trouble, mais moins intense que d'autres, ce qui leur permet de trouer un équilibre. Bref. Après, comme tu le dis Sartorius, en entendant parler de bipolarité, ou d'autisme, les gens peuvent faire l'autre chemin et voir les retombées positives de ces troubles. En cas de bipolarité, c'est toute la créativité et la puissance de travail apporté par les phases maniaques (sauf que mal contrôlées, elles peuvent aussi être dangereuse). C'est toujours valorisant, en société de dire qu'untel est un vrai artiste, qu'il a une vision très personnelle de la vie, et ce même s'il passe 25 h par jour dans son atelier (ça peut même devenir une qualité aux yeux des autres ça). En cas d'autisme, les gens ont forcément envie de croire que leur gamin (ou leur adulte hein aussi, l'autisme, ce sont aussi des adultes) est forcément surdoué, parce que c'est plus classe de se dire ça plutôt que l'autisme classique, qui lui ne réalisera jamais de grandes études, ne sera pas un "génie", etc. Et pourtant, l'autiste "asperger", ce n'est qu'une toute petite fraction du spectre autistique. Et ils ont aussi de gros gros problèmes d'adaptation et tout. On parle quand même de mecs qui peuvent certes réaliser de grosses équations différentielles de tête, mais qui sont totalement démunis devant l'idée de parler à quelqu'un, de faire ses lacets voire même de réaliser des geste d'hygiène simple. Les troubles psychiques sont complexes et personnes n'est égal devant. Bref, j'ai pas mal écrit et je commence à me perdre dans mon texte, donc j'arrête là et je répondrais peut-être autre chose plus tard XD _________________ |
“Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien...” 2978 messages Inscrit en 2017 |
J'attends avec impatience la suite de ta réponse parce que le début est très intéressant. En tant que malade, je m'y retrouve tout à fait. Il me semble que l'on est plusieurs dans ce cas, et c'est bien d'avoir un point de vue de soignant.
Dans mon cas, je peux m'estimer chanceux, puisque malgré mes troubles, j'ai pu faire des études (quatre ans après le bac, et encore, je suis le "cancre de la famille" !) me marier et devenir propriétaire. Je suis relativement intégré (ce qui n'était pas vraiment le cas durant ma scolarité) et autonome avec ma femme. Je n'ai fait qu'un court séjour en hôpital psy, soit trois semaines dans un service ouvert qui tenait plus de la maison de repos que d'un lieu d'enfermement. Bref, c'est plutôt light par rapport à ce que l'on voit ou lit dans la littérature. Le reste, ce fut de l'hôpital de jour, une solution qui ne semble pas très connue du grand public mais qui a l'avantage de prodiguer des soins psychiatriques suivis, sans la lourdeur d'un séjour de longue durée dans un établissement en pension complète. Ca, c'est quelque chose qui devrait être mieux connue et prescrite, parce que cela permet un meilleur suivis des patients "légers" et que cela coûte moins cher à la sécurité sociale, choses non négligeables. Dans mon cas, je suis passé par plusieurs diagnostics qui se sont neutralisés à la fin, puisque de l'un à l'autre, j'ai eu les deux : troubles de l'humeur, plus troubles dissociatifs. C'est grâce à ces derniers que je vous dois sans doute d'avoir été nominé dans la catégorie du meilleur boulet des GN. Awards... Au final, j'ai pu prendre mes distances avec lui, surtout depuis que j'ai arrêté de fréquenter un forum médical spécialisé dont je ne citerais pas le nom, mais que tu connais sans doute, et qui s'est révélé à la longue comme un véritable panier de crabes. Et puis, j'ai quand même obtenus l'AAH, même à demi-tarif à cause du plafond de revenus atteint par ma femme, ce qui n'est pas toujours la chose la plus facile à avoir, et qui constitue une forme de reconnaissance du handicap psychique. Outre mon mariage, il y a en plus deux autres facteurs qui favorisent mon intégration, ou qui allègent le fardeau de ma souffrance, c'est la présence d'animaux de compagnie, et la pratique de la photo, cette dernière me permettant de me donner l'illusion d'être productif et de faire quelque chose pour la société, aussi infime et illusoire soit-elle. Parce que c'est claire que malgré tous mes efforts, il y a peu de chances qu'un jour je sois reconnus comme un nouveau Raymond Depardon de la photo ! De l'autre côté du spectre, j'ai un contre exemple de personne qui, refusant le diagnostic, s'enfonce. Il s'agit d'un proche qui a fait un doctorat, puis deux ou trois post-doc, et qui est donc sensé être "une tête". Mais cette tête s'est mal débrouillée en négociant la suite, et s'est retrouvée sans emploi. Je ne compte plus les années depuis ça dure, mais cela doit faire pas loin de six ans cette année... Son problème est d'avoir un frère malade, mais qu'il refuse de tomber dans la même case que lui, de peur d'être stigmatisé. Il part du principe qu'à partir du moment où il ne consulte pas, il ne peut être reconnus comme malade lui aussi, et donc est sain. Alors que tout concorde à dire qu'il est névrosé jusqu'à l'os, et que son obstination le pousse à devenir une sorte de paria de la famille, justement ce qu'il voulait éviter ! Parce qu'évidement, bien qu'il ne soit pas officiellement malade, il n'a aucun des attributs sociaux de la personne saine, c'est à dire un travail et une famille, des enfants... là où son frère est certes handicapé, mais est marié, propriétaire, avec des animaux de compagnie, et qui pourrait avoir des enfants sans le passif socio-épigénétique de sa famille ! Cette personne se retrouve dans dans la situation inverse qu'elle recherchait en refusant toute consultation qui lui permettrait de soigner ses troubles névrotiques et le sortiraient de sa souffrance, parce qu'il faut le reconnaître, lorsqu'on le connait, lui et ses troubles, il n'y a pas besoin d'être devin pour comprendre qu'il souffre certainement plus que son frère qui lui se soigne ! Tout ça pour illustrer le fait que le rapport à la maladie mentale peut en effet comme le dit Hiroki être très complexe. C'est un peu comme la religion : il y a autant de façon de la pratiquer que de croyant. En psychiatrie, il y a autant de malades que de diagnostics et de façons de les soigner, tandis que le DSM n'est qu'une solution réductrice... |
“...” 1844 messages Inscrit en 2017 |
Yop, j'ai déjà atteint (dépassé même) les 1000 Heures de jeu sur la Nintendo Switch, alors que cela ne fait même pas un an que je l'ai.
Je me suis fier à l'historique de jeu qu'il y a sur mon profil, hormis pour Nights of Azure 2 où j'ai 20H de jeu et non 2H (avant la dernière mise à jour le jeu ne s'affichait pas sur l'historique donc ne comptabilisait pas et vu que j'ai fait la quasi totalité du jeu avant ). Je met les jeux par ordre où je les ai reçu: The Legend of Zelda: Breath of the Wild - 150H Mario Kart 8 Deluxe - 100H Puyo Puyo Tetris - 65H Disgaea 5 Complete - 105H Splatoon 2 - 250H ARMS - 45H Rayman Legends: Defenitive Edition - 25H Fire Emblem Warriors - 70H Super Mario Odyssey - 55H Nights of Azure 2: Bride of the New Moon - 20H Xenoblade Chronicles 2 - 165H Total - 1050H _________________ |
“Grozours” 6076 messages Inscrit en 2016 |
Et ben, félicitations ! Je posterai un bilan au mois de mars pour les 1 an de la Switch avec mon récap des jeux les plus joués. De tête j'ai facile 500h déjà. J'ai vraiment l'impression que je joue beaucoup plus sur Switch que mes consoles précédentes !
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“...” 1844 messages Inscrit en 2017 |
Merci.
À voir si dans un an, j'atteindrai les 2000 heures ou pas _________________ |
“Prêt à envahir la Banquise !” 5420 messages Inscrit en 2015 |
Du coup, je vais profiter de cette discussion pour vous donner mes heures de jeux sur Zelda et Mario (parce que même si je ne les ait pas complètement fini, vous aurez au moins une idée du temps que j'ai mis pour les finir une première fois) :
-Zelda Breath Of The Wild : 50H -Super Mario Odyssey : 25H _________________ MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA MUDA ! |
“Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien...” 2978 messages Inscrit en 2017 |
Dans mon cas, je ne préfère même pas regarder : je ne sais même pas si j'ai atteint les 100h...
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“L'Outsider” 1529 messages Inscrit en 2014 |
Alors, moi ça va être ridicule hein ^^' parce que je joue clairement moins que vous. Néanmoins, j'aime bien la Switch qui est plus pratique à lancer qu'une Wii U ou qu'un bon gros jeu PC
55 h sur Zelda BOTW (et je ne l'ai aps fini, il me reste une créature divine à faire, quelques quêtes annexes que je voudrais faire avant de voir Ganon, et naturellement Ganon. Je ne compte pas le finir à 100 %, parce que ça impliquerait de chercher toutes ces saletés de korogu et que je me fiche de ces créatures, et que mon inventaire, ça va pour l'instant.) 5 h sur RIVE, pour le test et le finir une fois. Après, j'avoue qu'il est un poil trop nerveux pour moi peut-être Et je ne sais pas encore combien de temps sur Axiom Verge pour l'instant. Vala. _________________ |
“...” 1844 messages Inscrit en 2017 |
Sartorius a écrit:
Dans mon cas, je ne préfère même pas regarder : je ne sais même pas si j'ai atteint les 100h... J'ai regardé ton profil par curiosité et en fait tu dépasses largement les 100h. _________________ |
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