Fic dont vous êtes le scénariste

Il existait dans des temps anciens et reculés sur Génération Nintendo, un topic de jeu où chacun à son tour insérait une partie de phrase. Ainsi le résultat créé donnait lieu à des situations rocambolesques et totalement WTF, en plus de faire participer facilement toute la communauté.

Aujourd'hui, je vous propose une version améliorée de ce jeu. Tout le monde peut y participer à condition de respecter les règles de GN. Pas de Double Post, pas d'injures, ni de PEGI18, ni de forme quelconque d'irrespect envers autrui, sinon le post en question sera supprimé sans préavis et à la rapidité de l'éclair.

Dans cette Fanfiction collective, chaque membre pourra proposer à son tour un paragraphe de 10 lignes environ, narratif ou avec dialogue, qui fait son maximum pour être en liaison avec le paragraphe précédent d'un autre membre. Ainsi, on va pouvoir se construire une Fic qu'on assemblera à la fin pour voir le résultat. Je suis certain que ça peut donner un rendu intéressant ! Les explications étant faites, laissons place à la fic.

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An 2620, planète Roxor du système solaire Swagala. Un morceau de terre paisible, l'air y est agréable et les températures ne dépassent jamais les 35°. Mais cette planète est frappée d'une terrible malédiction la nuit tombée, 50% de la population y perds son apparence de couverture et s'affiche tel quelle est vraiment : un simple squelette sans âme. On les appelle "Les Autres". Il est dit que quiconque croise le regard "d'un Autre" en devient un à son tour. Mais le plus terrible dans tout ça, c'est qu'on ne peut pas différencier un habitant normal "d'un autre", car le jour revenu ils reprennent leur enveloppe corporelle d'avant leur décès. A l'intérieur il n'y a plus qu'une coquille vide, sans âme, ni sentiments, et ils arrivent à se fondre dans la masse depuis des siècles.

- "Une terrifiante histoire", pensa Marc Edouard en repensant à ce livre qu'il avait lu à la bibliothèque. "Ca me ferait presque faire des cauchemars si je prenais ça au sérieux... Bref, assez tardé, rentrons à la maison !".



A vous d'écrire la suite !

J'aime l'idée, mais le seul risque c'est que ça parte dasn des choses trop complexes, à l'inverse de l'ajout des phrases où c'était normal que ça n'avait pas de sens.. Ici le but serait quand même de conserver un sens, ou du moins je l'entends comme ça. Mais essayons (espérons que personne réponde avant chacun x) ).

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An 2620, planète Roxor du système solaire Swagala. Un morceau de terre paisible, l'air y est agréable et les températures ne dépassent jamais les 35°. Mais cette planète est frappée d'une terrible malédiction la nuit tombée, 50% de la population y perds son apparence de couverture et s'affiche tel quelle est vraiment : un simple squelette sans âme. On les appelle "Les Autres". Il est dit que quiconque croise le regard "d'un Autre" en devient un à son tour. Mais le plus terrible dans tout ça, c'est qu'on ne peut pas différencier un habitant normal "d'un autre", car le jour revenu ils reprennent leur enveloppe corporelle d'avant leur décès. A l'intérieur il n'y a plus qu'une coquille vide, sans âme, ni sentiments, et ils arrivent à se fondre dans la masse depuis des siècles.

- "Une terrifiante histoire", pensa Marc Edouard en repensant à ce livre qu'il avait lu à la bibliothèque. "Ca me ferait presque faire des cauchemars si je prenais ça au sérieux... Bref, assez tardé, rentrons à la maison !".
En se promenant dans les rues de Lavanville, il croisa son meilleur ami qui était en train de saliver sur des gâteaux devant une vitrine. Il le surprit alors par une frappe dans le dos.
"_ WAH c'té quoi ça ? Demanda furieusement Kévin. Ah, j'me disais aussi.. Wesh, ça va mec ?
_Comme d'habitude tu vois, à glander en ville, mais là je rentrais. Je me suis dit qu'il faudrait que j'aille réviser au lieu de faire n'importe quoi.
_Ouais, moi pareil, pis je suis tombé nez à nez avec ces gâteaux...
_Mais depuis combien de temps tu aimes les gâteaux ?
_Béh, r'garde moi ce gâteau au fond de la vitrine."
Marc-Edouard observa minutieusement dans la direction montrée, et il n'en revint pas de ses yeux : il y avait une pâtisserie à l'effigie d'un squelette entier, ceux que l'on trouve en classe de SVT, mais c'était bien un aliment à déguster. Comment u gâteau de cette taille et sous cette chaleur pouvait bien tenir aussi bien ?

J'aime bien l'idée, j'ai peur de ce que ça va donner, mais je pressent quand même une orientation vers un univers très particulier, je sais pas encore lequel mais bon. Bref c'est mon tour.

En 2620, planète Roxor du système solaire Swagala. Un morceau de terre paisible, l'air y est agréable et les températures ne dépassent jamais les 35°. Mais cette planète est frappée d'une terrible malédiction la nuit tombée, 50% de la population y perds son apparence de couverture et s'affiche tel quelle est vraiment : un simple squelette sans âme. On les appelle "Les Autres". Il est dit que quiconque croise le regard "d'un Autre" en devient un à son tour. Mais le plus terrible dans tout ça, c'est qu'on ne peut pas différencier un habitant normal "d'un autre", car le jour revenu ils reprennent leur enveloppe corporelle d'avant leur décès. A l'intérieur il n'y a plus qu'une coquille vide, sans âme, ni sentiments, et ils arrivent à se fondre dans la masse depuis des siècles.

- "Une terrifiante histoire", pensa Marc Edouard en repensant à ce livre qu'il avait lu à la bibliothèque. "Ca me ferait presque faire des cauchemars si je prenais ça au sérieux... Bref, assez tardé, rentrons à la maison !".
En se promenant dans les rues de Lavanville, il croisa son meilleur ami qui était en train de saliver sur des gâteaux devant une vitrine. Il le surprit alors par une frappe dans le dos.
"_ WAH c'té quoi ça ? Demanda furieusement Kévin. Ah, j'me disais aussi.. Wesh, ça va mec ?
_Comme d'habitude tu vois, à glander en ville, mais là je rentrais. Je me suis dit qu'il faudrait que j'aille réviser au lieu de faire n'importe quoi.
_Ouais, moi pareil, pis je suis tombé nez à nez avec ces gâteaux...
_Mais depuis combien de temps tu aimes les gâteaux ?
_Béh, r'garde moi ce gâteau au fond de la vitrine."
Marc-Edouard observa minutieusement dans la direction montrée, et il n'en revint pas de ses yeux : il y avait une pâtisserie à l'effigie d'un squelette entier, ceux que l'on trouve en classe de SVT, mais c'était bien un aliment à déguster. Comment u gâteau de cette taille et sous cette chaleur pouvait bien tenir aussi bien ?

Mais si c'était le seul élément étrange, car en effet ce gâteau était étrangement apetissant, si bien que Marc-Edouard se mit à imiter son ami et se colla devant la vitrine, et resta devant ce mystérieux gâteau, fasciné, comme hypnotisé par une force qui le dépassait. Les minutes passèrent et le jour commençais à tomber. Mais Marc-Edouard s'en fichait désormais, il restait là à admirer le spectacle, malgré le danger que représentait le fait de se promener dehors la nuit.

Pas besoin de ré-écrire les précédents paragraphes, sinon les messages vont vite devenir très longs. xD

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Comme aspiré dans une bulle temporelle, le pauvre lycéen ne se rendît pas compte que le temps s’accélérait tout autour de lui. Mais il se sentait bien, donc autant continuer de regarder ce magnifique gâteau. Quand soudain, sa montre se mit à biper. Marc-Edouard sursauta. C'était son père qui lui avait installé cette alarme afin de le prévenir de rentrer à la maison avant que la nuit tombe. Le crépuscule était déjà bien prononcé ce jour-là, il ne fallait vraiment plus traîner.

- Je dois absolument rentrer, sinon je vais me faire gronder. Mais qu'y a t'il de si mal la nuit ? Moi j'y crois pas à ces histoires "D'autres". C'est des conneries pour nous empêcher de sortir !

Les rues étaient désertes, et Kevin semblait avoir disparu sans dire un mot. Marc-Edouard se pressa de rentrer en glissant le long des trottoirs grâce à son skateboard, et 10 minutes plus tard, il arriva enfin chez lui.

Il passa toute la nuit à rêver de ce gâteau-squelette, à la fois fasciné et terrifié par son apparence surréaliste. Le lendemain arriva et Marc-Edouard fut soudain pris d'un doute immense: il prit son skateboard et se hâta jusqu'à la pâtisserie de la veille. C'est à ce moment-ci qu'il crut devenir fou. Non seulement le gâteau avait disparu mais tout le bâtiment avait fait de même, laissant place à un terrain vague. Lorsqu'il rencontra Kevin, celui-ci lui demanda de quelle pâtisserie son ami parlait. Personne ne semblait jamais avoir vu ce bâtiment, excepté Marc-Edouard: un truc clochait, définitivement.

Avait-il été rêvé du début et à la fin ? Il se mit alors à réfléchir sur la question. De la journée de hier, la seule chose qu'il arrivait à se souvenir c'était sa souvenance de l'histoire "Des autres". Puis, la vitrine et ce qu'il s'en suivit. Après tout, il ne se souvenait pas de comment il était arrivé là : il arriva à la conclusion que c'était un rêve.

Son épreuve oral allait commencer, il se dirigea donc vers la salle de son examen. Tout se passait bien. Sa lecture analytique était convenable puis lors de l'entretien avec l'examinateur, ce dernier l'interrogea : "Avez-vous lu le livre "Les Autres" ?"

Marc Edouard sursauta sur son siège.

L'examinateur fut tellement surpris par cette réaction qu'il faillit en tomber de sa chaise. De tous les élèves qu'il avait sans doute interroger tous au long de sa vie, jamais il n'avait vu un cas comme celui-là. Une fois qu'il reprit son calme, il nota quelque chose sur sa feuille et posa son stylo sur sa table.

-Cette entretient est terminé, vous pouvez sortir maintenant.

Marc Edouard se leva de sa chaise, encore sous le choc, et quitta la salle. Dès qu'il eu fermer la porte, il arpenta les couloirs en restant silencieux. Il savait à présent que ce qui avait vu hier soir n'était pas un rêve. D'abord cette vitrine, ensuite ce terrain apparu soudainement et maintenant cette question qui, comme de par hasard, parlait du livre qui venait de lire à la bibliothèque. Est-ce que tous cela avait un rapport avec cette histoire "d'Autres". Cette pensée le terrifia.