Espoir Stellaire
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“(^_^)/” 2818 messages Inscrit en 2010 |
Prologue: Un ciel écarlate
Nimeria, le 1er pays et archipel mondiale à s’être élevé dans le ciel sous la surprise générale du monde entier, réussissant ainsi à échapper au cycle des catastrophes terrestres. Face au succès de leur expérience technologique, le pays fit de son mieux pour partager sa technologie au reste du monde et échapper à la catastrophe. La plus grande partie du monde fut sauvé mais qu’en est-il des peuples resté sur Terre ? Le monde céleste ne peut que verser des larmes vers le peuple terrestre abandonné. C’est une époque dont on n’a d’archive que dans d’anciens textes imprimés et conservés dans les bibliothèques les plus prestigieuses du monde ou dans les bases de données informatiques de certains pays. Aujourd’hui, seul le monde céleste est connu par l’opinion publique, ceux qui baissent leurs yeux vers le monde terrestre ne peuvent apercevoir qu’une épaisse masse sombre et le temps passant les gens ont arrêté de se préoccuper de cela. L’espace élevé a été aménagé de sorte à satisfaire le développement humain mais également le maintien de la faune et de la flore. Certaines chaines de montagnes et certains océans ont également été élevés dans le ciel, couplé au progrès technologique dans le traitement des eaux usés et les progrès en la gestion mondiale de l’eau, l’écosystème du monde est stable depuis plusieurs siècles déjà. L’ile d’Aira est une ile céleste élevé en étant proche du champ céleste de Nimeria mais c’est une ile assez éloigné du régime de Nimeria. De ce fait, elle demeure indépendante administrativement parlant. Cependant, peu importe la paix apparente du monde, tant que les hommes existeront le chaos existera. Alors que le quotidien du peuple d’Aira reprenait tranquillement sous un matin calme frais et brumeux, comme chaque matin Shoko, vêtue d’une robe blanche parsemé de ruban et de motif rose et bleu ciel, s’en allait se promener sur les bords de l’ile. Puis comme à son habitude, elle allait voir un homme qui vivait à l’écart de la population de l’ile, quand elle arrivait le ciel matinal affichait un beau bleu et le soleil illuminait le monde de sa lumière. Outre ses parents, l’homme était une personne qui ne l’évitait pas ou qui faisait excessivement preuve de gentillesse à son égard. Celui-ci vivait dans une espèce de petit complexe volant, maintenu à l’ile par quelques grosses cordes et relié à la terre par un petit pont de bois. Malgré son jeune âge, Shoko n’allait pas à l’école comme les autres enfants de son âge. Ses parents se chargeaient de son éducation eux-mêmes sur leur temps libre mais Shoko avait vu en cet homme inconnu une nouvelle source de savoir qu’elle n’avait pas avec sa famille. Plus que l’éducation purement scolaire basé sur la lecture et l’écriture c’était tout ce qui était de la cuisine, des arts du dessin et de l’art floral qui l’éblouissait chaque jour avec l’inconnu. Cela ne semblait plus déranger ses parents désormais, surtout quand le soir épuisé par le travail, un repas chaud préparé par leur fille les attendait. L’homme était discret avec la population et semblait vivre sur l’ile depuis maintenant quelques décennies. Personne ne s’était intéressé au passé de cet Homme, celui-ci ne causait aucun trouble et semblait même aider la population par moment. Il était déjà là avant même la naissance de Shoko. Ce matin en arrivant, l’homme lui fit signe de prendre place autour de la table comme d’habitude et il lui servit le petit-déjeuner. Un plaisir matinal qu’elle partageait parfois avec l’homme comme avec ses parents. Aujourd’hui, il prévoyait de lui apprendre la fabrication de parfum florale. Le lieu dans lequel vivait cet inconnu et l’accoutrement qu’il avait chaque jour ne semblait pas indiquer qu’il pouvait être aussi cultivé. Pourtant ce matin-là, alors qu’il faisait la vaisselle après le petit encas, le ciel s’assombrit tout à coup et un séisme semblait secouer l’ile. Une explosion écarlate se fit alors voir de la fenêtre du vaisseau, une explosion qui englobait facilement presque toute la surface de l’ile. A peine l’homme sortit-il pour voir si tout était réel, qu’une rafale de coup de feu ravageait son vaisseau. C’est ensanglanté qu’il revint à Shoko, il révéla une trappe sous un tapis du vaisseau et fit signe à la fille d’y entrer. Celle-ci ne comprenait pas ce qui se passait et obéit pensant qu’elle gênerait son protecteur en faisant autrement. A peine pensa-t-elle que la pièce dans laquelle elle se trouvait était sombre qu’une lumière s’alluma. Celle-ci révéla comme un espace dédié à la survit avec nombre de réserve d’eau et de nourriture. Elle entendit quelques coups de feu au-dessus d’elle et un bruit sourd envahir le vaisseau. A partir de ce moment, elle ne fit qu’attendre que l’homme vienne la rejoindre sous la trappe, quand l’heure de midi se fit sentir elle fit à manger pour deux en espérant qu’il se montrerait mais il ne se montra pas. Jamais la fille n’avait perdu cet espoir, l’idée d’ouvrir la trappe d’elle-même lui vint mais il semblait qu’elle ne pouvait s’ouvrir que de l’extérieur. Elle attendit alors son retour, vivant à la lumière de la pièce sombre dans laquelle elle était enfermée. Une bonne semaine était sans doute passé ainsi, si la nourriture n’était pas un problème en soit dans cette sombre pièce, le problème hygiénique se faisait sentir. La pièce n’ayant pas été conçu avec des toilettes, elle se débrouillait avec ce qu’elle avait pour nettoyer ses besoins. Sans parler de ne pas gâcher l’eau dans des utilisations telles qu’une douche rapide, elle ne s’en servait que pour se laver les mains avant de toucher à la nourriture. Bien que jeune, elle avait cette conscience des priorités. C’est alors que le bruit sourd du vaisseau s’arrêta en une grosse secousse renversant quelques bouteilles d’eaux. Des bruits se firent entendre au-dessus d’elle puis la trappe s’ouvrit. Une voix d’homme pestant contre l’odeur nauséabonde de la pièce, où était la fille, se fit entendre mais la petite ne réagissait pas. Une jeune femme déboula en un saut dans la pièce en braquant une arme à feu se fit voir. Elle portait une tenue assez sombre, peut être un bleu très foncé. Elle vit la fille, rangea son arme à l’arrière de son pantalon et s’approcha en se pinçant le nez. Femme : Bonjour petite, ça ne te dit pas qu’on sorte d’ici pour qu’on fasse connaissance toute les deux ? Homme : Alors ? Y a combien de corps en bas ? Femme : Aucun, juste une petite fille bien vivante ! Je la fais sortir ! Bon tu viens ? La petite fille ne réagissait pas, comme si elle ne comprenait pas ce qu’on lui avait dit ou comme si on ne lui avait rien dit. La femme trouva cela étrange mais la prit par la main et l’emmena en haut. Elle monta les marches difficilement et mit sa main devant les yeux à la lumière du jour. Elle vit alors un homme très grand avec une musculature très prononcée. L’homme s’approcha de la petite. Homme : Il n’y avait qu’elle ? Aucune trace de Fate? Femme : Non, aucune. Il n’y avait qu’elle, des restes de repas et des…déjections Homme : Ceci explique cette odeur de mort alors… Incroyable qu’elle ait pu vivre dedans. Alors petite, tu t’appelles comment ? Tu viens d’où ? Tu connais un homme qui s’appelle Fate ? Shoko ne réagissait pas, elle constatait rapidement qu’elle n’était plus sur l’ile d’Aira. Femme : Tu la fais peur, puis elle a dû vivre des choses affreuses comme nous il y a plus de 20 ans de cela. Homme : Toujours est-il que soit tu t’enfuis et jamais tu ne parles de nous, soit tu coopères avec nous jusqu’à ta mort petite fille. Alors que choisis-tu? L’homme approcha son visage de la fille qui ne semblait pas plus réagir ni comprendre ce qui se passait. Toujours est-il qu’elle serra plus fortement la main de la jeune femme. Celle-ci lui fit alors un sourire Femme : Arrêtes de l’effrayer, de toute façon on a besoin d’elle pour éclaircir l’affaire, ensuite ce n’est qu’une enfant donc on pourra facilement la relâcher. Homme : Mouai, bien allons-y. Femme : Je m’appelle Akira, enchanté ! Et le gros baraqué là-bas, on l'appelle DB chez nous. Mais, tu m’en diras plus sur toi tout à l’heure d’accord ? Shoko ne réagissait toujours pas mais voyant le sourire de la jeune femme, elle le lui rendit et se laissa guider par celle-ci. On dit qu’à l’article de la mort l’Homme revoit les évènements de sa vie défilé sous ses yeux. Cela explique peut-être la présence de cette jeune femme en haut d’un immeuble. Quelle tournure aurait pris l’histoire si elle n’avait pas rencontré cet homme vivant à l’écart de son ile ? Si elle n’avait pas obéit en se cachant sous la trappe ? Et surtout, si elle n’avait pas rendu ce sourire à cette Akira ? Peu importe combien on y pense, l’histoire est ce qu’elle est aujourd’hui, et il ne reste plus qu’une chose à accomplir. La jeune fille dégaina deux pistolets de la poche arrière de son pantalon et sauta du haut de l’immeuble. Portant désormais le nom d'Hoshiko, la jeune femme se dirigea peut être vers un ciel aussi écarlate que celui qu’elle avait vu par le passé. To be Continued Note du scénariste: Je ne sais pas si un jour, je reprendrais les fanfics que j'ai laissé mais celle-ci est le début d'une toute nouvelle œuvre de ma part pour GN. Avec un style qui n'est peut être pas forcément aussi bref et facile de lecture qu'a l'accoutumé, pourtant cela est du au choix que j'ai effectué sur le scénario de cette œuvre mais également aux personnages mis en scène. Je remercie d'avance la communauté aussi bien ancienne que nouvelle qui appréciera cette nouvelle production. Le scénario a eu des modifications de dernière minute au niveau des personnages pour mieux s'identifier aux fanfics de GN, je fais donc participer sa communauté dans une nouvelle œuvre sérieuse. Cependant, j'ai gardé le nom de mon Héroïne qui les japonisants auront peut être fait un rapport avec autre chose. Sinon, pour les curieux, l'homme baraqué n'avait pas de nom, Fate s'appelait Horyu et Akira se nommait Lilianne. _________________ リアリティこそが敵で、戦う相手だ。そして、そんなものに勝てる奴はいない。歴史上、ひとりだっていなかった。誰もが現実の前では討ち死にだ。生きることは負け戦なのだ。 La réalité est un ennemi et un adversaire que l'on combat. Mais à ce jour, il n'y a personne qui a pu gagner contre elle. Historiquement parlant, il n'existe même pas une personne qui a pu gagner. Tous le monde est mort au combat face à la réalité. Le fait de vivre n'est qu'une succession de batailles perdues." |
“Pouet” 21361 messages Inscrit en 2008 |
Très intéressant ce début de fic !
On dirait du fantastique qui reprends un peu l'ambiance de tes précédentes fics, mais dans un registre un peu plus trash et grave J'attends la suite =) _________________ |
“Paisible” 1604 messages Inscrit en 2012 |
En effet, c'est intéressant, j'ai beaucoup aimé
Sachant que j'ai adoré tes précédentes fics je n'ai que hâte de lire la suite ! |
“(^_^)/” 2818 messages Inscrit en 2010 |
Chapitre 1 : Une nouvelle étoile dans le ciel
Shoko tenait toujours fermement la main d'Akira. Elles sortirent du vaisseau et Shoko vit alors que celui-ci était enfoncé dans une crevasse, le vide apparaissait devant les deux filles. Le temps était pluvieux et les nuages de pluie épais et sombres. L’homme fort était déjà sorti et avait à la main un téléphone. Il semblait taper rapidement comme s’il communiquait avec quelqu’un. Akira sorti un pistolet différent du précédent et l’homme rangea alors son mobile dans sa poche. DB : Je vais attendre l’équipe de récupération, l’armée de Nimeria ne devrait pas arriver avant un moment, toujours est-il qu’il faut que l’on s’occupe de ce vaisseau avant leur arrivée. Akira : Bien, je rentre immédiatement en ville avec la petite, il faut qu’elle soit un peu plus présentable et puis elle a besoin de repos et d’un bon repas. Je la ramènerai au QG demain. Tu me tiendras au courant sur d’éventuels indices sur Horyu. DB : Pas de problème. Demain alors. Toi aussi petite. Shoko ne réagissait toujours pas, tout juste recula-t-elle un peu sa tête lorsque l’homme lui avait adressé la parole en s’abaissant vers elle. Cependant, aucune surprise ou émotion ne se dégagea de son visage. Si ce n’est celui d’une innocente petite fille qui ne comprenait pas ce qu’il se passait. Akira l’attrapa alors par le bras, puis la porta en l’asseyant sur son épaule droite. Elle leva alors son pistolet de sa main gauche et tira, un grappin en sorti et alla se fixer solidement sur une paroi rocheuse plus haut. Elle appuya sur la détente une nouvelle fois et le pistolet rembobina le grappin rapidement en les tirant ainsi vers le haut. En quelques secondes, Akira toucha ainsi la terre ferme plusieurs mètres au-dessus de la crevasse. Elle posa ainsi Shoko à terre tout en tenant la main de la petite fille, elle lui passa sa veste bleu foncé pour la protéger de la pluie. Les deux filles semblaient se trouver dans une zone de verdure avec de la végétation, des buissons, des nids d’oiseaux plus ou moins bruyant par ce mauvais temps. Il y avait également des chats qui semblaient se battre pour une femelle, ou encore d’autres qui affichaient leurs moustaches tachetés de sang rouge et frais en se délectant d’un oiseau imprudent. Cependant, ce qui ressortait le plus en regardant le paysage. Ce n’était pas cette faune et cette verdure qui semblaient naturelle, c’était l’ombre un peu plus loin de hautes constructions humaines, surement des immeubles voire des gratte-ciels. Des choses bien différentes de ce que pouvait avoir observé Shoko dans sa petite ville. Celle-ci n’avait surtout jamais vu ce genre de haut gratte-ciel, sa petite ville se résumait à de nombreuses maisons hautes ou quelques bas immeubles avec peu de circulation dans les rues que ce soit en population qu’en véhicule. Cependant, on devinait déjà même à une certaine distance de tout cela, que tout sera différent de ce qu’elle a pu connaître. Akira marcha vers un buisson en faisant fuir quelques petits animaux et y dénicha une moto. Elle redressa le véhicule et y installa la petite fille à l’avant près du guidon en lui apposant un casque sur la tête qui était d’ailleurs plus gros que la tête de la petite fille. Voyant que celle-ci semblait peu réagir et assez perdue, elle s’installa sur le véhicule en tenant le guidon d’une main, quant à l’autre main, elle serra la petite fille contre elle comme pour la rassurer. Elle démarra ainsi à grande vitesse dans le décor naturel en direction de l’urbanisme que l’on apercevait par les gratte-ciel. Elle déboula ainsi rapidement sur un axe routier assez désert mais on pouvait apercevoir clairement quelques habitations et au loin un amas urbain de haute construction. En continuant sur l’axe et en se rapprochant du centre urbain, la circulation se faisant de plus en plus dense. Ce fut sûrement la première fois que Shoko voyait des embouteillages urbains, étant sur moto Akira slalomait entre les véhicules pour avancer. A partir d’un certain point, elle dévia sa route du centre de la ville pour continuer sur des routes plus étroite et moins bouchés. Elle arriva ainsi en quelques minutes à un immeuble de taille moyenne où elle ouvrit un garage en contre-bas pour y ranger son véhicule. La pluie était moins importante mais continuait, Akira avait changé sa tenue dans le garage et avait même passé une autre veste jaune cette fois-ci à Shoko. Elle ouvrit un parapluie, sorti du garage en tenant la petite par la main et appuya sur un bouton de sa clé pour fermer le garage. Elle traversa ainsi la petite cour qui menait à l’entrée de l’immeuble puis essuya ses pieds avant d’ouvrir la porte du bâtiment. Shoko imita la jeune femme comme par principe et entra dans le bâtiment avant Akira. La jeune femme la guida à travers quelques couloirs étroits puis elle ouvrit la porte de ce qui semblait être son appartement. Elle alluma la lumière, fit entrer la petite fille couru alors vers un fauteuil et se laissa tomber dessus. Elle appuya sur un bouton du fauteuil, une espèce de grosse boite de conserve plus grand que la petite fille encore roula vers ce qui semblait être la cuisine, un bras mécanique sorti alors de son buste et ouvrit le frigo, il s’agissait sans doute d’un robot. Celui-ci prit alors une canette de bière et l’apporta à la jeune femme sur le fauteuil. Shoko n’avait toujours pas bougé de l’entrée, la jeune femme ouvrit alors la canette, prit une grande gorgée puis posa la boisson sur sa table basse avant de se diriger vers la petite fille. Elle lui retira calmement l’anorak. Akira : Ne fais pas la timide, viens t’assoir ! Tu dois être épuisé et tu dois peut être avoir faim. Je préparerai quelques chose après, je veux juste un peu me reposer, tu permets ? Voyant la petite fille sans réaction, elle lui prit la main et l’amena sur le canapé. Elle alluma la télé en lui mettant un dessin animé, pourtant cela ne semblait pas plus lui attirer l’attention. Elle remarqua que celle-ci fixait sa pile de feuille de papier blanc qui servait à imprimer des documents juste en dessous de son ordinateur. Peut-être que Shoko aimait le dessin, se demandait-elle. Akira alla donc chercher quelques feuilles et des crayons pour la petite fille. Le téléphone se mit alors à sonner, elle s’empressa d’aller répondre. Akira : Allo, bonjour ! Akira Steinvar à l’appareil…Ah, je vous prie de m’excuser monsieur, j’ai veillé tard hier pour vous rendre les documents à temps et quand je suis sorti il faisait froid et il pleuvait, du coup ce matin j’ai eu comme un coup de froid…Mon médecin m’a dit de rester à la maison quelques temps, je suis désolé de ne pas avoir appelé pour vous prévenir de mon absence…Non, non, c’est de ma faute. Bien entendu, je veillerai faire ma part de travail d’ici, si vous me fait parvenir tout cela par mail. Non, cela ne me dérange pas, ne pas pouvoir aller au bureau ne doit pas signifier que je ne peux pas travailler n’est-ce pas ?...Ne vous inquiétez pas pour ma santé, vous savez bien que j’ai toujours procédé ainsi, cela ne me dérange pas. Oui, oui, merci. Merci beaucoup, au revoir….. Ah, bien sûr que si ça me dérange mais pas comme si j’allais te le dire comme ça bouffon… Encore plus de boulot, en plus de tout cela pour l’Okiriya…mais il faut bien, le peuple ne pardonnera pas à Nimeria !....Ah ha ha, désolé, je plaisantais bien sur… Akira venait de se rappeler qu’elle n’était plus seule dans l’appartement. Elle revint donc d’un air gêné vers la fille et observa ce que Shoko faisait. Elle ne dessinait pas, en fait elle écrivait et tendit ainsi la feuille calmement à Akira. Après avoir lu, celle-ci eu comme une expression de surprise et regarda la fille d’un air attristé. Cependant, la petite fille semblait avoir constaté cet air et se leva brusquement en s’inclinant devant la jeune femme et en prenant la direction de la porte avec une expression de léger dégout à son visage. Akira s’empressa de lui faire barrage et la ramena au canapé. Akira : Désolé, je ne voulais pas t’offenser…Ah, hum…c’est vrai tu ne peux donc pas m’entendre. Akira prit la feuille et lui écrit qu’elle regrettait de l’avoir peut être contrarié et qu’elle ne sait juste toujours pas comment réagir à cela. Cependant, elle désirait en savoir plus sur la petite pour ainsi mieux la connaitre, elle promit de ne pas s’en faire sur les conditions de celle-ci et juste de la traiter en égale. Shoko comprit dans le regard de la jeune femme la sincérité dont elle faisait preuve. Elle sourit en direction d'Akira et lui écrit en regardant une horloge accrochée sur un mur de l’appartement, qu’il était l’heure de préparer le dîner et qu’elle pouvait discuter après cela. La jeune femme demanda tout de même l’âge de la petite fille qui avait tout de même 13 ans. Malgré sa taille, malgré son âge, elle semblait infiniment plus âgée, surement dût aux difficultés sociales qu’elle a dû traversée jusques aujourd’hui, pensa Akira. Shoko écrit alors à la jeune femme d’aller prendre son bain, puis elle se dirigea vers la cuisine. Akira : Ah ! Tu n’as pas besoin, je peux demander à…heu…enfin… Akira pointa le robot du doigt mais Shoko semblait insister en faisant signe à la jeune femme d’y aller et qu’elle s’occupait de tout. Celle-ci obéit et alla à la salle de bain, Shoko ouvrit le frigo pour y découvrir des ingrédients qui lui était plus ou moins connus. Elle fit la cuisine avec ses acquis culinaires en goutant et intégrant au possible les ingrédients qu’elle ne connaissait pas. Quand Akira revint de la salle de bain, la serviette entourant une bonne partie de son corps et les cheveux encore dégoulinant, elle fut surprise de voir la table dressé avec de magnifique et nombreux plats, chacun dégageant une odeur exquise. Alors que ses yeux brillaient d’impatience, elle s’installa rapidement à la table sans se soucier de sa serviette qui s’était ouverte au niveau de sa poitrine et dévorait telle une enfant affamé. Shoko lui fit signe de se calmer tout en prenant place et en mangeant tranquillement, affichant un sourire ravie de la réaction de la jeune femme vis-à-vis de sa cuisine. Akira : AH Mon dieu! je sais que tu ne m’entends pas mais c’est exquis, délicieux ! En fait, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas manger de plat fait main, c’est clair que ça change contrairement à ce robot ! Faut dire que je n’ai pas mise à jour sa base de donnée culinaire. Mais même, c’est franchement bon là ! En plus, tu ne connais peut-être pas les légumes, viandes, etc… de cette ile ! C’est franchement impressionnant ! Comme dit par la jeune femme, Shoko n’entendait pas forcément ce que lui disait la jeune femme mais elle se contenta de comprendre avec la mine qu’affichait Akira en mangeant et en parlant. Une fois le repas terminé, Shoko commença à faire la vaisselle tandis que Akira était installé sur sa chaise, les jambes sur la table à demi allongé avec sa serviette mouillé autour de son corps qui découvrait toujours sa poitrine, elle se curait les dents en regardant la télévision. Une fois que je petite fille eut fini, elle lui fit alors un signe du doigt dans un couloir pour lui dire que la salle de bain était de ce côté. Shoko la remercia et alla dans la direction donné. Quelques secondes après, Akira alla pour chercher des anciens petits vêtements qu’elle avait peut-être dans sa chambre et croisa Shoko avec une serviette mouillé autour du corps qui lui fit un sourire. Elle eut alors un déclic et s’approcha d’elle en touchant son corps certes lavé à l’eau mais la peau encore bien collante de sueur. Shoko continua lentement vers le salon mais la jeune femme la ramena dans la salle de bain en lui enlevant la serviette dans le couloir et enlevant ainsi la sienne, elle lui fit prendre un long bain en la lavant intégralement de la tête au pied. L’eau en était même croupie par la saleté de son corps laissé une bonne semaine sans douche. Elle lui trouva alors des vêtements d’enfants, lui sécha les cheveux, puis elles s’habillèrent. Akira alla éteindre les lumières du petit salon en allant ainsi préparer un coin dans sa chambre pour que la petite fille puisse dormir. Elle apporta quelques feuilles blanches et un stylo et attendit Shoko. La petite arriva quelques secondes après la mine un peu gêné. Akira : Excuses-moi si je t’ai brusquée mais…c’est tout de même un gâchis tu cuisines bien, tu sembles forte malgré ta condition, tu es une adorable petite mais je ne pensais pas que tu n’aimerais juste pas te laver…C’est même assez ridicule ! Il faut que…Ah, peu importe tu m’entends pas… Akira lui demanda alors de lui raconter comment elle est arrivée dans le vaisseau. Shoko lui écrit toute l’histoire, elle lui parla également un peu de ce qu’elle savait de l’homme qui l’avait sauvé et enseigné de nombreux arts. En échange, Akira lui raconta ce qu’elle pensait être arrivé des terres natales de la petite fille, en s’appuyant sur les journaux et les actualités diffusés par l’administration de Nimeria. Il semblerait que Nimeria soit dans une politique d’intégration de tout ce qui s’élève dans son champ céleste. Le pays intégrerait donc par la force, sans même procéder à quelconque manœuvre diplomatique. Akira informa Shoko, qu’elle est désormais sur l’ancienne ile d’Okiya, maintenant considéré comme un département de Nimeria. La jeune femme vit la mine sombre et attristé qu’afficha la petite fille en prenant conscience de la tragédie de son île céleste. Akira lui fit comprendre qu’elle devra l’accompagner à un certain endroit le lendemain. Sans en dire plus, elle prit la petite fille dans ses bras, éteignit la lumière et l’aida à s’endormir. Le lendemain très tôt alors que la lune était encore visible dans le ciel, Akira réveilla la petite fille, l’habilla et lui fit enfiler la veste bleu foncé de la veille. Elle démarra alors la moto en tenant la Shoko à l’avant et roula à toute vitesse vers le centre de la ville. Elle arriva au parking souterrain d’une grande surface situé à proximité de ce qu’on peut considérer comme un quartier d’affaire surplombé par les hauts gratte-ciel. Le parking était désert, seuls quelques véhicules y étaient stationnés. Akira appuya sur un bouton de sa clé qui éteignit toutes les lumières du parking, comme si le courant avait été subitement coupé. Elle accéléra donc un bon moment en ligne droite dans le parking, elle ne semblait pas avoir ralenti et le lieu n’était pas immense pourquoi n’avait-elle pas percuté de mur, se demanda alors Shoko. Les lumières s’allumèrent de nouveau et elle vit alors qu’elles étaient sur une route s’enfonçant de plus en plus bas et non plus dans un parking. A l’approche d’un cul de sac, Akira ralenti et gara sa moto à côté d’autres véhicules semblables. Elle fit descendre la petite fille du véhicule en lui enlevant la veste pour mettre celle-ci. Elle avança vers un mur du cul de sac qui s’ouvrit en une porte caché à l’approche de la jeune femme. Les deux filles étaient dans un ascenseur, Akira appuya sur un étage précis. Une fois arrivé et sorti de l’ascenseur, on était dans un véritable décor d’entreprise moderne. De nombreux bureaux avec des ordinateurs, de nombreuses personnes travaillaient à leur poste, d’autres se déplaçaient à un autre bureau pour transmettre des documents, c’était un endroit anormalement animé en début de matinée. Shoko remarqua deux détails pourtant, d’une chaque travailleur portait une veste bleu foncé ou l’avait étendu sur le dossier de leur siège ou sur un porte-manteau. Enfin de deux, en voyant passé Akira tous semblait s’incliner ou effectuer un salut presque militaire à celle-ci. La jeune femme traversa rapidement l’endroit en tenant Shoko par la main et arriva à un endroit plus sombre où semblait s’aligner de nombreux laboratoires scientifiques où de nombreux chercheurs en blouse bleu foncé semblaient affairés. On voyait également des salles où l’on pouvait voir des personnes armés s’exercer sur des cibles mouvantes. Les deux filles continuèrent à avancer toujours plus loin dans cet endroit mystérieux et enfin arrivé devant une gigantesque porte blindé. Akira plaqua sa main sur un panneau juste à côté de celle-ci, une petite ouverture se fit dans la porte au niveau de la tête d'Akira, celle-ci approcha son œil de la porte. Une autre ouverture se présenta alors un clavier numérique où elle tapa rapidement un code. La porte s’ouvrit en une espèce de salle de réunion où quelques personnes semblaient observer de nombreux écrans ou débattre sérieusement d’un certain problème politique. Un grand homme tourna sa tête vers la porte, Shoko reconnu l’homme d’hier mais avec ce qui semblait être un costume noir. Akira : Ah ? Tu retournes là-bas, DB ? DB : Bah, il faut bien en tant que directeur de cette entreprise… De plus, j’ai une réunion avec les actionnaires. Mais, je peux demander un peu de temps, je veux dire tu as amené la fille avec toi après tout. Akira : J’ai pu avoir quelques informations, je pense qu’on peut en parler plus tard mais grosso-modo…concernant la petite, elle est muette et sourde de naissance. Son nom est Shouko si je m’en souviens bien, et elle vient de l’ile d’Aira récemment acquise par le gouvernement de Nimeria. DB : Pfff…encore une nouvelle tragédie comme il y a 20 ans de cela… et concernant Fate? Akira : Il était bien parti en observation sur cette ile d’Aira, mais je ne sais rien de plus malheureusement. Cette petite a eu une certaine éducation prodiguée par celui-ci. Je ne sais pas encore s’il y a eu des choses pertinentes qu’il ait bien pu lui apprendre mais je pense qu’elle peut nous en apprendre plus sur la vie de Fate sur Aira. Je ne lui ai demandé que quelques généralités, rien de bien pertinent sur lui. Puis, on connait Fate, il a forcément laissé quelque chose avec cette petite fille, il n’a pas pu disparaitre ainsi. DB : Il est vrai que ça ne lui ressemblerai pas, je me demande d’ailleurs ce qu’il est advenu de lui, serait-il vraiment mort ? La dernière requête qu’on lui avait formulé date d’il y a quelques mois n’est-ce pas ? Akira : Oui, c’était quelque chose qui devait nous permettre de pouvoir accélérer nos recherches sur Nimeria et leur technologie de défense anti-explosive. Cependant, sans lui nos recherches prendront infiniment plus de temps. DB : Bien, la fille est donc à ta charge. En tout cas, si tu l’as amené ici, tu as bien conscience qu’elle est désormais des nôtres. Fais lui bien comprendre cela. Bien, je m’en vais à mes affaires urgentes. Le grand homme quitta la salle rapidement, à ce moment un chercheur qui les observait depuis leur entré s’approcha. Il était mince et portait une blouse bien blanche contrairement aux autres chercheurs précédemment observé. Akira : Master Cake, qu’y-a-t-il ? Master Cake: C’est un spécimen intéressant que tu nous amènes aujourd’hui. Akira : C’est une fille, un être humain Master Cake… Master Cake: Shoko si j’ai bien entendu ? Sourde et Muette de naissance, une anomalie bien rare. Et donc elle fera partie des nôtres désormais ? Un membre assez particulier… Il lui faudra donc un ID et un pseudo. Je vais m’occuper de toute la paperasse, il faudra également qu’elle passe par mon laboratoire pour qu’on ajoute les données digitale et oculaire. Heureusement, qu’elle n’est pas aveugle d’ailleurs, Ha ha ha ha ! Akira : Arrêtes ton humour noir et fait ce que tu as à faire. Master Cake: Bien, son pseudonyme sera Hoshiko, concernant les autres préparatifs, amène la moi dans la soirée, je dois retourner au centre de recherche nucléaire, je suis censé tenir une conférence prochainement jusqu’en fin d’après-midi. Akira : Hoshiko… comme d’habitude te ne te prends pas la tête pour les pseudos, Cake! Master Cake: Trop y réfléchir est une perte de temps ma chère Kira, allez du coup, je vous retrouve plus tard! Shoko ne comprenait pas ce qui se passait, elle ne faisait qu’observer son entourage, les outils, les expressions de chacun. Akira la regarda, elle prit un morceau de papier de la salle et y écrit quelques lignes dessus. Shoko lu le message et acquiesça Les étoiles naissent et meurent tout comme la vie d’un être humain se résume à une existence brève. Une étoile peut mourir en explosant ou en englobant le monde en elle avant de disparaitre, l’être humain occupe la mémoire des gens avant de disparaitre définitivement mais qu’en est-il d’exploser ? « Ce jour, je suis née étoile, aujourd’hui je ferai tout exploser » telles étaient les pensées d’Hoshiko qui chutait de l’immeuble, la tête la première, tenant des pistolets à chaque main. Celle-ci brandit alors ses armes en direction de ce qui semblait être au loin une tour de radio. Sentir le vent entre les oreilles et glacer nos lèvres. C’est une sensation normale après avoir sauté d’un endroit aussi haut. C’est également la preuve que l’on vit encore, mais pour combien de temps ? To be Continued Note du scénariste: Alors, attention, ceci est un chapitre exceptionnel, je ne garantie pas ce même rythme de parution chaque semaine. C'est à dire que le fait d'avoir deux bout cette semaine est spécial. Concernant le scénario et les personnages, vous avez sûrement plus de développement grâce à ce chapitre. Vous en savez plus sur l'originalité de cette héroïne et le style de fic que j'ai voulu adopté en la prenant pour personnage principal de celle-ci. Concernant le personnage de Master-Cake, son nom fut Robin à l'origine. D’ailleurs inutile de dire je pense, qu'Akira Steinvar se nommait au début Lilianne Steinvar. Ai-je donné des noms de famille à chacun des personnages? Je dirai que je devrai peut être réfléchir à d'autres noms xD Est-ce que la fic sera focalisé que sur Hoshiko? J'ai envie de répondre, oui. Cela ne veut pas dire que les autres personnages n'auront pas leur importance, ils auront tous une grande influence sur mon héroïne. Concernant, l'univers où se déroule cette fic, c'est un monde inspiré de notre Terre en fait. Avec nombreux autres continents qui flotte dans le ciel et des Terres en-dessous des nuages. De ce fait, je ne dis pas que je vais traiter l'univers entier de cette fic, d'autant plus que je focalise sur Hoshiko. Mais des idées de spin-off j'en ai et peut être que mes collègues fanfiqueur en ont aussi. Donc si vous voulez exploité cet univers ou développer un spin-off de cette fic vous pouvez toujours me consulter. Enfin comme je laisse des notes de scénariste comme ça à la fin, si vous avez vous-même des questions à poser, des propositions à faire, des suggestions sur la suite des évènements, sur le chapitre à venir etc...sachez que je lis les réponses et que vous pouvez très bien voir vos idées apparaitre dans la fic si jamais j'ai trouvé cela intéressant. _________________ リアリティこそが敵で、戦う相手だ。そして、そんなものに勝てる奴はいない。歴史上、ひとりだっていなかった。誰もが現実の前では討ち死にだ。生きることは負け戦なのだ。 La réalité est un ennemi et un adversaire que l'on combat. Mais à ce jour, il n'y a personne qui a pu gagner contre elle. Historiquement parlant, il n'existe même pas une personne qui a pu gagner. Tous le monde est mort au combat face à la réalité. Le fait de vivre n'est qu'une succession de batailles perdues." |
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Chapitre 2 : Une étoile montante
Note: Cet extrait est un petit teaser du chapitre à venir. Vous pouvez ou pas le lire. Sachez qu'une édit aura lieu prochainement, j'ai eu un empêchement qui ne me force à retardé d'un peu plus la sortie du chapitre Hoshiko, cela faisait maintenant une semaine que la petite fille portait ce nom. Lilianne: Je te présente Ejenna, je n'ai pas beaucoup de temps donc elle sera celle qui prendra soin de toi d'accord? Ejenna: Mon mari et moi avons toujours rêver d'avoir une petite fille, j'ai entendu parlé de tes handicaps et je travaille également dans cette organisation. J'espère que tu pourra me faire confiance. Bien que tu n'entendes pas ce que l'on dise n'est-ce pas? Hoshiko vivait alors une vie de petite fille presque normale si ce n'est quelques rendez-vous qu'elle prenait dans la semaine pour voir Lilianne et Robin où elle subissait toute sorte de test et d'entrainement physique étrange. Ejenna rentrerai pas ce jour-ci. Hoshiko se résolue à dormir tôt et seule. Pourtant, au milieu de la nuit, une envie présente la réveilla. Il faisait nuit noire, l'horloge de la maison indiquait pourtant 2h du matin, mais sur le chemin des toilettes ce jour là, elle distingua Kenji qui parlait au téléphone et avait un regard terrifié. Celui-ci vit la petite fille mais conscient de son handicap, il n'y fit pas attention et semblait continuer à crier dans le combiné. Deux coup de feu retentirent et deux vies s'éteignirent. Robin: Avec cela tu peux m'entendre n'est-ce pas? Je suis désolé, tu peux penser que si j'avais conçu cela plus tôt les choses aurait pu changer mais ne laisse pas ton passé t'étouffer et avance petite. Cela me hante encore aujourd'hui. Je vous rejoindrai un jour mais j'ai une mission à accomplir, pensa-t-elle en tirant alors deux coups en direction de l'étrange tour de radio au loin. Note 2 : Cet extrait est réalisé avec les noms originaux de mes personnages, vous pouvez vous amuser à deviner les membres que je retiendrai pour certains rôles. Je rappelle que l'édit du chapitre aura lieu très prochainement. _________________ リアリティこそが敵で、戦う相手だ。そして、そんなものに勝てる奴はいない。歴史上、ひとりだっていなかった。誰もが現実の前では討ち死にだ。生きることは負け戦なのだ。 La réalité est un ennemi et un adversaire que l'on combat. Mais à ce jour, il n'y a personne qui a pu gagner contre elle. Historiquement parlant, il n'existe même pas une personne qui a pu gagner. Tous le monde est mort au combat face à la réalité. Le fait de vivre n'est qu'une succession de batailles perdues." |
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