[Test Import] The Last Story
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The Last Story a été dévoilé la première fois en Janvier 2010 par un site teaser de Nintendo. On se souvient bien à l’apparition du site l’annotation « Mistwalker X Nintendo » ce qui signifiait donc un projet développé par Mistwalker et Nintendo puis à plus moindre mesure que c’est un jeu édité par Nintendo. Cependant Mistwalker n’est pas le genre de studio que tout le monde pourrait connaitre, je me permets donc de dire que le président de Mistwalker n’est autre que Sakaguchi Hironobu, père d’une série phare de RPG connu à travers le monde, la série Final Fantasy. Notre monsieur fait son retour après deux jeux sur X-BOX 360, avec The Last Story pour Nintendo et la Wii, et c’est le premier projet depuis Final Fantasy V, nous dit-il, où vraiment il participait en tant que directeur et réalisateur. Ajoutons qu’il ne cessait de dire que lui et son équipe travaillait sur The Last Story à 120% comme si c’était le dernier jeu du studio comme une certain Final Fantasy à l’époque avec Nintendo qui réussit à sauver l’entreprise Square Soft. En parlant de The Last Story, Sakaguchi le décrit comme étant le « renouveau du RPG ». Sur la même console, rappelons qu’un certain Xenoblade a déjà entamé le chemin du renouveau sur le genre J-RPG et qu’il fut dans le cœur de nombreux joueurs, un franc succès. Nous allons donc à présent voir ce « renouveau du RPG » et si le J-RPG, dit en déclin, peut rayonner à nouveau avec cette dernière histoire. Mercenaire et Chevalier, du bon classique médiéval. A cette ère où le J-RPG prend des chemins de plus en plus futuriste, The Last Story opte pour une trame classique, médiéval, une touche européenne, des personnages assez stéréotypé. Pourtant cet aspect classique, chevaleresque, médiéval et magique nous accroche et le rythme du jeu ne fait qu’accentuer le plaisir de vivre le jeu. Pour la petite histoire, The Last Story vous place au contrôle d’Elza, un mercenaire qui rêve de devenir chevalier sur la petite île de Ruly. Dans cette société, les mercenaires sont très mal perçus par les gens, à l’inverse les chevaliers sont véritablement respecté, Elza et Quark, le chef du groupe de mercenaire, veulent devenir chevalier pour eux-mêmes mais aussi dans le but de protéger Ruly. Quark veut profiter de la mission que confit le comte Argagan, seigneur de Ruly, à son groupe de mercenaire pour ainsi monter dans son estime et se rapprocher de son but. Et c’est dans cette première mission que le jeu vous fait débuter. Le scénario bien qu’en présence de personnage stéréotypé (Seiren l’alcoolique qui ne veut que se battre et gagner de l’argent pour boire, Jackal l’espèce de Dom-Juan, Yuris l’asocial qui ne pense qu’a lui ou Manamia qui est toujours à côté de la plaque ou qui sort des citations que même la philosophie de Rousseau n’aurai jamais trouvé), celui-ci monte en puissance à chaque avancé. Le rythme du jeu n’a qu’un seul défaut, il rend le jeu court à finir cependant c’est ce rythme de jeu qui rend aussi intéressant l’histoire puis son trait médiéval…….ça fait du bien par rapport à tout ces RPG avec leur armes modernes, robots etc…… Quoi vous n'aimez pas l'ambiance médiéval? Pourtant ça change bien de ces laboratoires de mutant ou robot humanoïde...... Une œuvre d’art. Que se soit dans l’aspect visuel ou sonore, The Last Story se classe sans mal parmi les meilleures productions Wii. L’unique défaut du jeu serrai sans doute que tout se passe sur l’ile de Ruly et ces alentours ou autour et dans la ville de Ruly, seule grande ville du jeu. Donc en comparaison par exemple à Xenoblade, jamais vous ne gambaderez dans une immensité de plaine verte et ensoleillée infestée de monstres plus ou moins effrayant. Mis à part ça, parlons qualité. Il est vrai que par rapport aux premiers artworks dévoilé du jeu, le résultat final est déjà loin d’être au style manga/anime qu’on pensait, cependant ce n’est pas pour déplaire. Le style graphique dépasse la majeure partie des productions Wii en termes de réalisme. Les détails sont nombreux, pour ne citer que Ruly city pour exemple, les petites ruelles, les différents marchés proposant divers articles, les oiseaux ou autres animaux notamment les chats cachés dans les ruelles ou grandes rues, ou les habitants tous assez variés ne serai-ce que dans les tenues, on ne pourrait pas dans ce test où nous devons être à la fois précis et bref dire ce qu’il se dirait en une page. Je ne parle en effet que de Ruly mais et les diverses fissures d’éléments des décors de combat ou justement de nombreux éléments mise en place afin d’interagir avec le décor lors des combats. Sans ça, le style réalisme général est réussi, puis The Last Story réussi même à surpasser Xenoblade sur un point pas très dur quand on parle de Xenoblade, le Chara-design. Comme Xenoblade, les personnages sont ultra-customisable jusqu'à couleur du morceau de métal sur leur épaule. Le bestiaire ainsi que les boss sont tout aussi bien modélisé. De plus, le jeu est ponctué par diverse scène en image de synthèse très belle. Ajoutons à cela l’aspect sonore du soft, certes Nobuo Uematsu a fait mieux dans sa carrière de compositeur mais certains thème reste superbe à écouter. Puis l’OST de The Last Story est un peu plus compliqué à juger, car de nombreuses pistes sont à remettre dans le contexte dans lequel ils sont joués pour mieux les comprendre et de ce point de vue là, on part de musique à consonance mélancolique pour l’évocation de certains passé au sonorité plus militaire et chevaleresque au passage des chevaliers. Bref, certaines pistes restent donc réellement mémorable dans cet OST comme d’autres peuvent être facilement oublié. The Last Story brille donc par un superbe chara-design, un réalisme dont de nombreuses productions Wii n’ont pas su obtenir, par un soin du détail et une bande sonore sur qui l’ont peut compter pour renforcer l’aspect sublime de compositions bien orchestrées. C’est un tableau exposé dans un musée avec une bande sonore « Nobuoesque » à l’écoute dans la salle. Ce n’est pas par le scénario, ou par la durée de vie que The Last Story va innover le RPG. Non, The Last Story se veut rénovateur du gameplay en y apportant plus d’action, de stratégie, de dynamisme, de vivacité, bref une bonne grosse dose d’air frais entre les systèmes de pseudo temps-réel et tour par tour d’un certain Final Fantasy ou d’autres système classique de RPG. Vous l’aurez donc deviné, loin d’être qu’un RPG, The Last Story est un action-RPG. Le renouveau opère dès la première mission, pour ce qui est des bases, vous bougez avec le stick, vous vous mettez en garde avec B et au niveau attaque soit vous optez la semi-auto et donc Elza attaque quand vous êtes à proximité d’un ennemi, tout seul comme un grand, soit vous préférez le mode manuel et alors les attaques se feront par A et certaines anciennes action en A se verront transposé sur le bas de la croix directionnel. En clair au niveau des bases, elles sont très simples à assimiler. L’aspect nouveau de The Last Story vient de l’aspect tactique que nous propose le jeu, à vous de voir avant chaque début de combat, comment vous pouvez vous y prendre, soit brutalement tête baissé, soit alors de manière plus tactique en réussissant par exemple, à prendre les ennemis par derrière et donc attaquer de deux côtés différents les ennemis avec votre groupe. Pour ce faire, il y a de nombreuses interactions des personnages avec le décor des champs de bataille, prenons la configuration semi-auto, pour vous accroupir derrière une colonne effondré de ruine ou alors vous cachez derrière un mur de la salle appuyez sur A. Les combats ne débutent souvent que quand l’ennemi vous a dans son champ de vision et même le combat commencé vous pouvez rester caché derrière un mur juste derrière votre mage qui incante, cela attirera donc l’ennemi et alors le surprendre en vous dévoilant. Au niveau des interactions, il est aussi possible de détruire grâce à vos mages, certains éléments du décor afin qu’ils s’effondrent sur les ennemis et ainsi leur infliger de gros dégâts. La magie aussi très présente vous avez la possibilité de changer l’élément de votre arme grâce à vos mages, en effet quand une magie est utilisée un cercle magique apparaît sur la zone d’impact. Le choix s’offre à vous soit éparpillé la magie sur les ennemis grâce à la magie de vent que maitrise Elza et infliger dégâts et altération d’Etat. Par exemple, faire glisser les ennemis en éclatant un cercle de glace ou bien soigner les membres du groupe en éclatant les cercle de soin. Notez qu’il est aussi possible et judicieux d’éclater les cercles magiques ennemis. Enfin la capacité que possède le Héros « Gathering » vous permet de ressusciter les alliés ou immobiliser les ennemis mais surtout d’avoir l’attention des ennemis sur vous et ainsi élaborer d’autre diversion comme attirer les ennemis là où vos mage sont en train de finir d’incanter une magie. Concernant un autre aspect stratégique, il vous est possible de passer en « Command Mode » pour ainsi donner de nouveaux ordres à vos alliés et de leur ordonner d’utiliser d’autres techniques. Il est cependant dommage que niveau technique de combat le tout reste assez limité, on appréciera cependant le fait qu’a chaque grosse nouveauté de gameplay ou technique importante, un petit tutorial vidéo vous illustre comment faire la technique. Sans vous avoir donné tout les détails du système de combat, vous aurez donc compris qu’il mixe à merveille stratégie, dynamisme et action. Notez en plus que le nombre de combattant pouvant aller de 1 à 7 alliés en combat et pas forcément des personnes de votre groupe mais tout aussi bien dans les 7, quelques PNJ, bref cela ne rend que les combats encore plus dynamique. Dommage cependant aux baisses de frame et donc des ralentissements dans les combats à cause d’une action trop intense, ce qui montre bien que la Wii est exploité et surexploité. Au niveau de la difficulté du gameplay, il est très facile à prendre en main malgré des explications qui semble le rendre difficile, le tutorial vidéo et les touche utilisé ne font que confirmer la chose. De plus les combats sont très jouissif sans pour autant qu’il soit dur, vous avez 5 barres de vie, donc avant d’être mit K-O définitivement et avoir Game Over vous avez de la marge. Ne sous-estimez pas les boss pour autant, la stratégie peut être parfois oubliée dans les combats standards mais pour les Boss ils sont plus que nécessaire à la victoire. Chaque Boss ayant leur propre astuce pour les terrassé. L’I.A de vos alliés n’est en rien pourri vu qu’ils savent eux aussi utiliser certaines de vos techniques ou aussi de se cacher comme vous derrière un mur de leur propre initiative et ces alliés vous procure aussi une réelle sensation de vivre des combats avec de vrais camarades tant l’aspect vivant a aussi été travaillé mais nous y reviendront. The Last Story renouvèle donc le J-RPG par son système de combat optimal aux allures de MMORPG dont Sakaguchi dit s’être beaucoup inspiré. Un coup d’œil seul, ne vous suffira pas à comprendre, il faut vous-même l’essayer pour ressentir le travail effectué dessus. Gagnez du temps pour que Yuris finisse l'incantation, je dois à tout pris tenir! (Le chiffre en jaune représente les secondes avant fin de l'incantation.) Absence de liberté et aventure courte camouflé par un jeu vivant The Last Story n’est pas un jeu sans défaut. Pas de grande plaine, juste des donjons et une ville ce qui vous met donc aux mains d’une aventure très linéaire. La durée de vie avoisinant les 20-30 heures n’arrange en rien la chose. On pourrait croire que l’on suit une espèce de long couloir sans liberté. De plus l’histoire semble incomplète, disons que tous les protagonistes bien que stéréotypés, tous ne sont pas assez développés au niveau du background et de leur histoire. Cependant, Sakaguchi et Mistwalker ont préféré travailler un autre point du jeu pour ainsi camoufler ces défauts : le caractère vivant du jeu. On a en effet aucune plaine et uniquement une seule ville et divers donjons. Cependant, cette ville très grande et les activités et PNJ qui s’y trouvent sont très variés. On a l’impression par exemple par l’accoutrement des habitants de la ville que chaque personne est distinct alors que la mode dans les RPG est de refaire deux même personnages à quelques mètres de distance. L’activité de ces PNJ sont tout aussi variés, si une jeune fille est serveuse à un bar au sud de la ville, sur la place de marché des gens cuisine et sur la place du Colisée des gens se battent ou font des paris. Dans la taverne d’Ariel, les gens dansent, jouent de l’harmonica. Et puis, ces PNJ semblent aussi vivant dans le sens des interactions vos protagonistes. Par exemple, quand vous bousculez les personnes, elle vous le fera remarquer voire vous insultera, en avançant dans la quête vous en arriverez même à recevoir des excuses de ces même personnes en vu de vos exploits qui vous ont fait plus ou moins monter dans l’estime de ces personnes. Les interactions avec les PNJ vont même jusqu’aux quêtes annexes certaines visible du genre « accompagnez moi là-bas pour sauver machin », d’autre un peu moins comme la serveuse qui se plaint des nobles qui fréquentent l’endroit et qui voudrait bien les voir glisser, à vous de réaliser son souhait et de recevoir une récompense. Bref la grandeur de la ville ou vous circulez des grands boulevards bondés aux petites ruelles où se caches certaines personnes où alors des animaux, cela vous donnent une autre impression que celle d’être enfermé dans une simple ville. Puis les PNJ et leurs activités réellement varié ne fait que renforcer un sentiment de paysage vivant. Ensuite la durée de vie courte, là il faudra juste reprocher Sakaguchi de n’avoir pas su créer une histoire plus longue. On ne dira pas que sa dernière histoire n’est pas intéressante, loin de là. La réalité veut que son histoire aurai pu être plus longue si le rythme de jeu n’était pas aussi intense vers le dernier quart du jeu. Cependant si ce rythme de jeu n’était pas aussi intense, il n’est pas sur que l’histoire aurait été apprécié de la même manière. De ce point vu, nous allons donc être plutôt mitigé et plutôt hésitant. Cependant encore une fois, cette aventure courte est aussi différente selon les joueurs et leur capacité à chercher les quêtes dans l’immensité de la ville et de ces personnages qui ont beaucoup à vous demander. Donc si vous êtes plutôt du genre à passer une heure dans la ville à fouiller pour des quêtes annexes alors l’aventure et le plaisir n’en sera que plus long, alors que si vous ne tenez qu’à le finir absolument, tout sera raccourci. Enfin les protagonistes, en effet pour certains d’entre eux, on aurait préférer en avoir plus sur leur passé. Cependant, il est vrai que hors combat mais surtout dans les combats nos protagonistes sont extrêmement bavards exhibant donc très naturellement leur caractère, leur psychologie. On a vraiment affaire là, à des personnes, des camarades on ne croirait pas comme dans beaucoup de RPG à des espèces de robots aux voix préenregistrés. Ces dialogues en plus avec l’avancement dans le scénario sont eux aussi de plus en plus intense et important donnant donc aussi l’impression que le scénario, la trame du jeu est présente en ces personnages. Puis un autre point, vos alliés seront toujours derrière vous contre les boss pour plus ou moins vous conseiller contre les boss en vous donnant leurs impressions sur un boss ou une situation pour tourner le combat en votre avantage donc pas forcément en vous donnant directement le point faible du boss mais plutôt comme une personne le ferai du genre « Et si nous essayons cela, il se peut que ça marche ». Il est donc évident que The Last Story a des défauts cependant on voit bien un boulot de la part du studio pour essayer de camoufler les défauts et pas seulement en le cachant avec un truc simple à mettre en place mais en attaquant sur un autre plan, le plan moral et vivant. Cet aspect vivant fait que se balader sur Ruly ne nous fait pas ressentir tout de suite que nous sommes enfermés, mais même le contraire on a l’impression de faire sa route dans une ville ouverte, vivante et dynamique de part ces activités. L’aventure avec ces compagnons restent courte mais malgré tout très appréciable et on ressent une certaine affinité ou attachement avec chacun des membres du groupe et ce même si certains ne sont pas bien développé dans le background. Pour terminer sur un point, plus ou moins hybride que l’on ne saurait trop où classé dans le bon ou mauvais, il s’agit là du mode Online. Il est assez limité et on en fait le tour en quelques minutes ou heures cela dépendra de votre attention sur un jeu Online. Cependant, il faut savoir que c’est là qu’on contrôle réellement d’autres personnages et même des PNJ ou monstres du jeu solo. Attention cependant au nombreux spoil sur les lieux ou boss du mode solo si vous avez l’intention de jouer Online sans avoir compléter le mode solo. Sinon, le mode reste très vivant du fait que vous pouvez assignez vous-même les répliques de divers personnages du jeu et les entendre oralement sur votre écran ainsi que les messages qu’envoient les autres joueurs. C’est donc un véritable petit tchat oral qui se fait dans les « Room » avant de commencer une partie, et ces répliques sont aussi applicables durant les parties. Puis le système de combat dynamique du jeu le reste tout autant en Online et le meilleur dans tout ça, sans lag. Le point positif de ces temps-ci reste surement le fait qu’en ce moment en vous connectant aux bonne heures il est possible de croiser Sakaguchi sur le Online mais ça, c’est autre chose. Graphisme 16/20 : De nombreux détail, un réalisme irréprochable sur Wii, de véritable artwork sur certaine scène et de superbe scène en CG ou/et Motion Capture. Il reste cependant des points pas très beaux surtout dans certaines vidéos avec effet flash-back, ou alors un autre mauvais point vient surement de l’aspect plus très fluide quand l’action devient intense. Gameplay 18/20 : Optimal, juste comme souvent dit, la baisse de frame et ralentissement quand l’action est intense ce qui est bien dommage. La Wii est surement ici parfois surexploité. Durée de vie 14/20 : La quête principale se finit en 20-30h selon son intérêt. Mais les nombreuses quêtes annexes « invisibles » de la gigantesque ville de Ruly font que sa durée de vie peut être plus conséquente. Puis, pour les perfectionnistes retourner dans les anciens donjons pour récupérer tout les objets. Puis notons le New game +, avec des ennemis plus puissant en gardant votre niveau et vos arme de la partie terminé. Notons le mode Online un peu accessoire qui peut aussi s’ajouté dans la durée de vie. Bande Son 17/20 : Une bande son de qualité avec des pistes qui s’allient bien au moment où elles sont jouées. Un doublage de grande qualité et très présent du fait de l’aspect vivant du jeu et de tous ces bavardages en combats ou non. Doublage qui retranscrit bien certaines émotions ou psychologie du personnage. Oh et puis la chanson de Kanon « Toberu Mono » Scénario 14/20 : Seul défaut du scénario, il est court. Mais en cette ère où les RPG optent pour un aspect « futuriste » un bon classico-médiéval ça fait du bien. Et puis sans oublier cet aspect « magique » et moins moderne, c’est du tout bon. On regrettera aussi un background de certains personnages non présent….. Note générale : 16/20 Le renouveau du RPG a commencé sur Wii avec Xenoblade, The Last Story lui emboite fièrement le pas. Sakaguchi & Mistwalker peuvent être fier de leur boulot et font un retour en force sur la scène du jeu vidéo et du RPG. Non sans défaut de part son aspect un peu limité, Mistwalker ont opté sur l’aspect émotionnel pour combler cette limite. Pour les difficiles qui n’adhèrent pas, on en reste pas moins face à un blockbuster sur la blanche de Nintendo qui on l’espère débarquera jusqu’en Europe pour les fans du genre et ainsi prouver ce qui fait sa force. Bref, le J-RPG sur Wii ou avec Nintendo peut encore briller longtemps. _________________ リアリティこそが敵で、戦う相手だ。そして、そんなものに勝てる奴はいない。歴史上、ひとりだっていなかった。誰もが現実の前では討ち死にだ。生きることは負け戦なのだ。 La réalité est un ennemi et un adversaire que l'on combat. Mais à ce jour, il n'y a personne qui a pu gagner contre elle. Historiquement parlant, il n'existe même pas une personne qui a pu gagner. Tous le monde est mort au combat face à la réalité. Le fait de vivre n'est qu'une succession de batailles perdues." |
“Pouet” 21360 messages Inscrit en 2008 |
Enorme ton test x)
Vu la longueur, tu as du t'éclater à le faire ^^ Ne connaissant rien à ce jeu, je trouve quand même que Gamekult a noté sévère car on sent que les développeurs ont vraiment bossé sur ce jeu... Pour ton test, j'aurai peut être mis un peu plus de 16 pour les graphismes. Et dommage pour la durée de vie trop courte... Sinon, toutes mes félicitations pour ton test =) _________________ |
1443 messages Inscrit en 2010 |
Franchement kuro, je suis fier de toi ,
ton test est cool et en plus il donne envie de jouer. Et tu ne surnotes pas (il en fallait bien un) !! Enfin bref, vlà un domaine, où je trouve que t'es un BG !! (Putain la musique bien tripante) |
6316 messages Inscrit en 2009 |
DB a tout dit XD
Mais comment peut tu penser que les graphismes peuvent valoir plus de 16, les images ne disent pas tout tu sais? Sinon en effet dommage pour la durée de vie et la scénario, c'est ce que j'attendait principalement. Je ne sais pas si je le prendrais.... Excellent test sinon |
503 messages Inscrit en 2010 |
Trés bon test ! Comme d'habitude en fait
continue Kuro |
6316 messages Inscrit en 2009 |
Si seulement ce jeu pouvait sortir chez nous....
Tu devrais faire des tests plus souvent, tu nous en mets plein la vue a chaque fois ps: Sinon moi je veut un test de muramasa |
1584 messages Inscrit en 2009 |
Excellent test ! Très bien développé
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