[Test Import] Tales of Graces

Voilà enfin, le douzième opus des "Tales of" sortie, pour l'instant, uniquement au Japon. "Tales of" est une franchise de Jp-RPG qui a eu ces débuts en 1995 avec comme premier opus de la série, Tales of Phantasia sortie sur Super Famicom de Nintendo. Elle n'a de cesse continuer à ce faire connaître et a améliorer la série d'opus en opus. Elle a toutefois eu quelques opus décevant comme beaucoup de séries de jeu. En 2008, la Wii de Nintendo accueillit Tales of Symphonia : Knight of Ratatosk, suite du célèbre opus de la série, Tales of Symphonia (sortie sur Gamecube en Europe). La suite sur Wii aura mit presque deux ans à arriver en Europe, mais a peine était-il annoncer pour l'Europe, que Namco Tales of Studio avait déjà annoncer Tales of Graces sur Wii. Cet opus est développer par la team Destiny réputé pour faire les meilleur scénario de la série. Il est dit que le jeu était déjà en développement depuis 2007-2008 et que c'était le premier opus de la série, développé par la team Destiny, a être en 3D. Sortie le 10 Décembre 2009 et dit comme être l'épisode le plus long et aboutit de la série, la Team destiny tient-elle ces promesse avec Tales of Graces?


L'opening de Tales of Graces "Mamoritai white wishes" chanté par BoA

Il était une fois.............

.......un prologue qui n'existe plus. Tales of Graces commence sans prologue conté par un personnage du jeu, comme souvent dans la série. Le jeu vous met directement dans la peau d'Asbel Lhant, garçon de 11 ans et futur Seigneur Féodal de la ville de Lhant situé sur le continent de Windol. Asbel est un garçon farceur, enjoué et chéri. Il ne manque pas d'occasion de s'amuser et vit chaque jour pleinement. Il ne manque pas d'entraîner son petit frère Hubert dans ses bêtises et ne manque pas d'occasion de faire hurler par Cheria, petite fille du majordome de son manoir. Pourtant un jour, Asbel et son frère amènera une mystérieuse fille amnésique, en ville. Les enfants la nommeront Sophie. Suite à divers évènement et à la rencontre de nos protagonistes avec le prince de Windol, Richard. Notre prologue se terminera sur la perte d'un être cher à Asbel qui jurera de ne plus perdre d'être chers et que pour cela il deviendra chevalier. Après ce prologue que vous incarner et jouer, vous vous retrouverez avec le même Asbel Lhant, qui a cette fois 18 ans. Le scénario prend cette fois un autres tournant. Nous sommes à l'aube d'une guerre entre les trois continent du monde d'Elfinea. Ces trois continents, Fendel, Strata et Windol, sont tout trois de force égal. La civilisation d'Elfinea use d'une matière nommé Arles qui est l'un des composant d'une autre matière le Criath. Vous reprenez donc l'histoire avec Asbel dans une forêt avec son maître Malik Cearsar.


Asbel : " Non !!!!!! [Bip] !!!!!!!!!!"
Kurosekai : Je ne peux malheureusement pas vous spoiler cette partie, en effet Asbel assiste à la disparition d'un être cher.

La Grâce technique

Tales of Graces impressionnera en premier par sa réalisation haute en couleur, qui surpassera même celle de Tales of Symphonia : Knight of Ratatosk, sortie sur la même console. Si on excepte le paysage vide du désert de Strata (En même temps que voulez vous voir dans un désert, sauf des cactus, du sable, des oasis) On a de beau paysage bien détailler, jusqu'au petite pétale de fleur. Tout dans une 3D, réussissant tout de même à rapprocher la beauté de Tales of Vesperia sortie sur console HD. Le disgn des personnages est laissé à la célèbre character design des Tales of " Les cinématiques anime sont surement les plus dynamiques, les plus belles et les plus longues de la série "Tales of" et les cinématiques en 3D sont très nombreuse et tout aussi bien réalisé. On oubliera pas les compositions Sakurabesque du titre toujours aussi envoutante. Outre la beauté technique, Tales of Graces est l'opus de la série avec le système de combat le plus dynamique de la série. Ce système de combat se nomme "Style-Shift Linear Motion Battle System" (abrégeons en SS-LMBS). Le système repose sur un acquis de Tales of Destiny : Director's cut, le Chain Capacity (ou CC). Plus de mana désormais, tout est régler en CC point. Si vous en avez vous pouvez attaquer sinon attendez un moment. Les déplacements en combat est un mélange des anciens opus (déplacement sur une ligne) et de déplacement libre (qui est tout de même présent dans cet opus mais qui nécessitera des points CC). Comment cela se fait? Grâce au nouvel élément ajouté en combat, l'Around Step, un simple et rapide pas de côté (devant ou en arrière) qui fera tout de même appel à une certaine dextérité et pour être parfaitement maitrisé. Ce pas vous permet d'esquivé l'attaque ennemi et de contre-attaquer rapidement, ce qui rend les affrontements d'autant plus dynamique. De plus, on retiendra que cet opus amène chaque personnage du groupe à maîtrisé deux style de combats ("Taitouwaza" et "Battojutsu" pour Asbel) cela donne donc de nombreuse nouvelles techniques variées, différentes et gracieuse pour chaque personnages. Une chose est a retenir c'est la barre d'Arles, qui activera soit l'Arles rise (Equivalent de l'Overlimit) soit l'Arles break (Overlimit ennemi). On finira sur une facilité de gestion dans les menus standard ou de combats et un changement de personnage immédiat très utile en combat.


Richard : "Tiens, Hirei"
Asbel : "Ouaaaa, quel magnifique technique et quel beau effet de lumière!"


Un conte au contenu inutile et sans liberté

Le jeu misait sur un système d'Alias (ou vu dans les précédents opus en "Titres"). Chaque Alias est divisé en 5 rang, chaque rang représente une Capacité à apprendre. Il y a autour de 100 Alias par personnages dont de nombreux sont inutile. L'apprentissage de Capacité se fait avec des SP (Skill point) qu'on acquiert à chaque combat. Sachant que certains rang d'Alias vous permet d'apprendre et déclencher les fameux Blast Caliber, des techniques surpuissante. Le système peut être bien élaboré au début mais lassant à la longue. D'autres éléments qui auraient dû être approfondi, le système de Dualise (Synthèse) et d'Arles Pot. Et une dernier point, la liberté du jeu.........Nous ne suivons qu'une voie à sens unique jusqu'au dernier donjon ou enfin, on peut voler à l'aide d'une machine (le Shuttle) en choisissant sa destination. En effet, on choisi sa destination, comme le point & clik de Tales of Symphonia : Knight of Ratatosk. Et non, pour ceux qui espérait on ne vole pas sur une carte du monde. La carte du monde est quand à elle par zone (repris de la structure de Tales of Hearts) De belles zones à la première venu mais des paysages redondant à force d'y revenir et de passer par les même zone.


Une très grande carte, de beaux paysages parfois redondant.........
Asbel : "Pourtant, ces vaches sont belles, regardez elle broute la belle herbe de Windol"




Tales of Graces est l'un des plus beau jeu donné à voir sur Wii, un graphisme bien élaboré, un gameplay avec un temps d'adaptation avant de maitriser. (Même pour les habitué de "tales of"). Pas de contrôle très spécifique à la Wiimote (le jeu pouvant se jouer au pad Classsic) mais cela est un point qu'on pardonnera très facilement. La durée est de vie est équivalente voire supérieur à certaine production du studio. Comptez 40h pour boucler la quête principale et plusieurs dizaine d'heures en plus pour terminé le jeu à 100%. La bande son est envoutante, on reconnaît des mélodie de "Baten kaitos" ou "Eternal Sonata" mais que voulez-vous, c'est du Sakuraba et pourtant on aime. Malgré quelque petit point décevant, Tales of Graces est un très bon jeu.
En bref, Tales of Graces réussit à rectifier le premier tire décevant (pour beaucoup) envoyé par Tales of Symphonia : Knight of Ratatosk sur Wii.


Asbel : "Bien Emil, prosternes-toi devant moi maintenant"

Note finale : 18/20