Logo Génération Nintendo
Miniature

Knights in the Nightmare

Knights in the Nightmare - Test

DS     Rédigé par Fate     Sam 3 Mar 2012     0 Coms et 1503 Vues
J'appuie sur le bouton power, je vois les écrans défiler au début du jeu...Edité...par Atlus, pas étonné du tout, mais content de savoir que j'allais forcément jouer à un jeu de qualité, je continue de voir passer les écrans. Et là, c'est le choc, l'écran-titre d'une beauté presque irréele, un château magnifique sorti d'un rêve éphémère, accompagné de la plus émouvante musique d'écran-titre qu'il m'ait été donné d'écouter dans tout ma vie de gamer. Mais je commençai à angoisser. Le jeu allait-il être aussi bon tout au long du jeu, ou était-il comme l'écran-titre, à savoir un bonheur illusoire ? Impatient, je commence le jeu, ce que je découvrit changea en moi tout les préjugés sur les RPG que je possédais jusqu'à présent, car Knights in the Nightmare n'est rien de tout cela.


Une ambiance envoûtante



Si l'on s'arrêtait à l'écran-titre, Knights in the Nightmare ressemblerait à s'y méprendre à un Castlevania. Mais ce sont deux ambiances radicalement opposées. Le jeu n'y va pas de main morte, en vous plongeant directement dans l'aventure, sans aucun véritable personnage principal, du moins vivant. Etonnant non ? Enfin, cette affirmation se révèlera être erronée par la suite. Dans le château d'Aventheim, les gardes en patrouille découvrent que le corps du défunt roi est porté disparu. Seuls quelques hommes ont pu apercevoir une jeune femme sortir en courant du château. Qui est-elle ? Et a t'elle volé le corps ? Toutes ces questions n'ont absolument aucune importance pour le moment puisque vous vous retrouvez subitement dans le corps (façon de parler), d'un esprit, que l'on appelera Wisp (version US), ou tout simplement 'l'esprit'.

Il est très difficile de juger le scénario de Knights in the Nightmare. Si l'on s'en tenait aux critères classiques, KIN (abrégé...) ne fait pas le poids face à la concurrence sur la Dual Screen: beaucoup de personnages, mais peu développés, grande répétitivité des combats et intrigue compliquée. En revanche, il peut compter sur d'autres atouts: l'univers et l'ambiance juste renversants, on se croirait dans un rêve tout au long du jeu, sans doute à cause de la fine brume qui s'installe dans Aventheim. La mise en scène est également sympathique lors des fins de combats, lorsque que l'on découvre alors un fragment de la mémoire des chevaliers morts que vous venez de recruter, permettant de remettre en place les pièces du puzzle de l'intrigue du jeu. Qui est Wisp ? Quelle est l'origine de sa mort? Va t'il retrouver son corps? Et qui est cette étrange valkyrie qui l'a libéré ? Quel dommage que l'aventure ne soit pas aussi monumentale qu'escomptée...

Monumentale, c'est l'adjectif qui qualifierais l'OST composée par l'inconnu Shigeki Hayashi. Une utilisation abusive du piano dans la quasi-totalité des thèmes que l'on peut entendre, mais rompant avec les stéréo-types habituels: intégrer le piano dans un thème dynamique. Ici il donne le tempo, le rythme. Alternant entre thèmes épiques et thèmes nostalgiques. La bouche grande ouverte, on sera souvent emerveillés par la splendeur des compositions. Et ce dès les premières secondes avec le thème d'intro. Autre caractéristiques marquante de cette OST, c'est le nombre assez étonnant de thèmes de boss, assez nombreux dans le jeu. Et pas un seul thème pour tout les combats de boss, non! Chaque combat est accompagné d'une musique différente, chose très rare dans un RPG. Certaines sont plus marquantes que d'autres certes, mais toutes témoignent de la qualité du travail fourni en amont. Autre point assez amusant, les faibles voix que l'on entend en fond de nombreux thèmes; leur présence étant pour renforcer sans doute le sujet principal du jeu, la mort. On croit donc entendre à certains moments des fantômes, mais si cette impression relève peut-être de mon imagination, cette initiative est bien là pour renforcer l'ambiance sombre du jeu.

Le jeu s'apprécie d'abord par son ambiance
Vous aurez du mal à vous séparer des
personnages, malgré leur rôle limité



Un gameplay incroyablement riche et complexe



Asseyez-vous bien et tenez-vous prêt, parce que comprendre le gameplay de Knights in the Nightmare vous semblera bien impossible avec mes explications. Vous auriez totalement raison de penser cela car il s'agit d'un des RPG les plus riches, en terme de possibilités et de contenu. Pour faire simple (et c'est pas gagné), un combat se déroule de la manière suivante: votre stylet contrôle Wisp, qui va dans un premier temps éviter les attaques adverses, qui se matérialisent sous forme de petites lumières à éviter, un peu de la même façon qu'un Touhou, ou pour rester sur DS, Big Bang Mini. Si vous vous faites toucher, vous perdez du temps, car le combat se divise en rounds chronométrés. Voici donc la partie 'adresse' du jeu. Mais comment attaquer me direz-vous? Tout en évitant les attaques adverses, vous devrez diriger Wisp, sur la petite carte de combat composée de cases à la manière d'un RPG tactique, sur un des personnages à l'écran, personnages que vous recruterez durant l'aventure. En maintenant Wisp sur un personnage, celui-ci va amorcer une attaque, qui se déclenchera après plusieurs secondes. Voici donc le principe de base. Chose étonnante, à la fin de chaque round, les ennemis vaincus seront marqués sur une grille, comme dans un puissance 4, le but étant de battre les ennemis permettant de faire une ligne verticale, horizontale ou verticale. Bien sûr, en battant tout les monstres, vous serez obligés de faire une ligne à un moment ou un autre.

Vous tenez bon ? Eh bien je vais vous larguer dès à présent en vous disant que ce que je viens de vous expliquer n'était qu'une toute petite partie de l'iceberg du gameplay du jeu. Car il existe une dixaine de classes de combattants, chacune n'attaquant que dans des directions spécifiques et seulement sur un certain nombre de cases! Il faut aussi choisir des armes pour vos chevaliers, sachant qu'une arme à un type qui sera plus ou moins efficace selon le type de monstre, que chaque arme à un niveau de durabilité, et que les classes de chevaliers ont des armes qu'ils ne peuvent pas utiliser. Je pourrais aussi vous dire que sur la carte de combat, il y a des monstres, mais aussi des décors destructibles, cachant des items ultra importants pour recruter des personnages, car il vous faudra alors vous équiper de l'item clé et le mettre sur le chevalier attribué pour le recruter. Sachant qu'il n'y a que 4 slots d'armes/items dans un combat, vous ne pourrez pas combattre si vous avez 4 items clés sur vous ! Qu'en chaque round, une roulette de monstre défile avec la grille de puissance 4, et qu'il vous faut choisir les monstres a combattre pour le prochain round, de telle manière à ce que cela vous serve à faire une ligne ! De quoi donner mal à la tête à n'importe quel bizuth de Knights in the Nightmare !

Car heureusement (Alléluiiiaaaa!) il y a un tutoriel de proposé sur le menu principal même, et je vous DECONSEILLE de le sauter, comme moi le première fois, sinon vous allez être lâché dans un combat, sans comprendre une seule seconde ce qui est en train de vous arriver ! Le tutoriel fait lui-même en entier presque 1 heure, mais 20 minutes de tutos suffiront pour que vous assimiliez les bases, le reste vous le découvrirez au fur et à mesure du jeu. Et pour les plus masochistes d'entre vous, il y a un second tuto pour les 'astuces' qui requièrent donc un niveau de jeu élevé! De quoi frustrer ceux qui veulent un jeu sans prise de tête mais qui raviront les fans de gameplay approfondi et qui devient agréable à jouer au bout de quelques heures. Chaque combat demande une certaine stratégie, et vous aurez l'impression d'être dans un match de boxe, à vous préparer entre chaque round, remplacant les armes, les items, et même les chevaliers, à selectionner les monstres à la roulette et à jouer au puissance 4. Vous découvrirez des choses à chaque fois, par exemple que vous pouvez fusionner des chevaliers pour les rendre plus forts, fusionner les items, en forger d'autres avec des éléments que vous récupérez en combat mais dont vous ne saviez même pas vous en servir. Bref Knights in The Nightmare ou patience rime avec récompense. Un gameplay qui sera seulement entaché par sa très, voire trop grande complexité, rendant le jeu très peu accessible, et quelques problèmes au niveau de l'ergonomie au stylet, vous faisant des erreurs gênantes en combat alors que vous ne vouliez pas les faire. On insistera aussi sur l'aspect vraiment apocalyptique des combats, aussi bien graphique qu'au niveau du gameplay, l'écran est parfois tellement surchargé qu'on ne voit pratiquement plus rien. Comme l'a dit un de mes confrères, KIN n'est pas un jeu pour le gamer moyen, c'est une fleur qui demande juste un peu de temps avant d'éclore en une magnifique rose.


Quelques vidéos pour vous donner une idée du gameplay



D'autres arguments qui vous donneront envie de continuer...



Nombre de jeux ont su prouver par le passé que les graphismes peuvent servir l'ambiance à la perfection, des noms comme Okami, Seiken Densetsu, et même des titres ayant des faiblesses techniques comme The Last Story. Mais la technique ne fait pas forcément tout. Dans le cas de KIN, l'ambiance est à la fois servie par des graphismes d'une technique assez impressionante, mais il s'agit surtout de parler d'une réussite artistique totale. Comment ne pas être émerveillé par les graphismes qui font tout droit penser à Riviera, mais en moins répétitif? Chaque décor semble être sorti d'un songe, entre rêve et réalité. Certes malgré la comparaison ci-dessus, les décors et le bestiaire restent quand même redondants. Mais deux points particuliers remontent la note. Tout d'abord les effets, nombreux, qui envahissent l'écran tel un maëlstrom de lumières et d'éclats. Sans provoquer de ralentissements, le jeu est grâce à cela très dynamique. Malgré l'aspect bordélique que cela peut avoir de temps en temps, l'écran de combat reste dans l'ensemble assez lisible, de façon à ce que le joueur s'y retrouve, et c'est le principal. L'autre point assez impressionnant tant il est imprévu, c'est la qualité du character design pour chaque personnage. Détaillé et chaleureux, il en sera de même pour les 70 personnages du jeu (environ), si bien qu'il devient douloureux de s'en séparer, quand le joueur doit sacrifier des soldats pour en créer des plus forts. Sting réalise ici un petit exploit, vu que les personnages ne sont pas tous scénaristiquement développés, car seul le character design va forger un lien entre le joueur et les personnages.

En vouloir plus, c'est à mon avis ce que ressentent les joueurs après la douxaine d'heures qu'offre le jeu. Et puisque celui-ci incarne la linéarité même, on ne peut pas vraiment dire qu'il y a des quêtes annexes. Les personnes qui s'arrêteront là le regretteront, car il est possible de refaire le jeu avec une héroïne différente, surtout au niveau caractère. De plus, il est assez difficile de tomber sur la bonne fin dès la première partie, demandant des conditions spéciales pour y arriver. 2 en 1 donc. Après, c'est sûr que le fait que le jeu soit répétitif ne va pas vraiment donner envie de continuer, mais ce serait rater une partie du jeu, surtout si l'on à commencé en mode facile.

Pourquoi choisir le mode easy à son premier playthrough demande à ce que l'on refasse le jeu ? Tout simplement car le mode facile n'offre absolument aucun challenge une fois les règles assimilées, il n'y a aucun défi, donc pas de résistance, par conséquence moins d'intérêt. Le mode normal lui, est beaucoup plus intéressant et c'est alors que le jeu dévoile tout son potentiel au niveau du gameplay. 7 tours pour battre tout les ennemis au lieu d'une vingtaine, on voit tout de suite la différence, surtout contre les boss. Et je ne vous parle même pas du mode difficile! Concrètement, cela veut dire que l'on va apprécier le jeu différement en fonction de ce que l'on veut ressentir. Mode facile : Découverte, Mode normal: Recherche de challenge, Mode difficile : Pour les geeks d'Etrian Odyssey et autres plus costauds que la moyenne, voire suicidaires. Excepté le réglage des modes de difficulté, le jeu est tout de même bien équilibré. Les boss sont loin d'être insurmontables, mais ce qui sera le plus dur, ce sera de récolter les items clés en ayant en tête que vous ayez tout de même un temps limite pour battre les ennemis.

Admirez le très bon character-design
Et aussi les excellents graphismes, véritable
atouts du jeu

Scénario
15/20
Complexe, peut-être même trop, le scénario de Knights in the Nightmare raconte le périple d'une âme qui essaie de récupérer son corps, et qui a le pouvoir de ressusciter, le temps d'un combat, des chevaliers tombés sur le champ d'honneur. Malgré la répétitivité, le jeu peut compter sur une mise en scène assez originale et immersive à chaque fin de chapitre, qui permet de voir les derniers instants ( dans la plupart des cas) des chevaliers que vous venez de recruter.
Graphismes
17/20
L'ambiance. Sans cela, Knights in the Nightmare ne serait rien. Cette ambiance, elle est d'abord servie par d'excellents graphismes. Sombres, certes, mais incroyablement envoûtants. Vous aurez l'impression de plonger dans un rêve (voire dans un cauchemar, après tout, c'est le titre). Véritable feux d'artifice lors des combats (un peu bordélique, m'enfin ça reste joli), la beauté du titre ne s'arrête pas là. L'excellent character design étonnera beaucoup, et ce, pour la totalité des personnages, la plupart étant secondaires en plus.
Jouabilité
16/20
Attention, car il s'agit là d'un des jeu les plus riches de la ludothèque DS, et sans doute un des plus complexes. Le tutorial d'une heure ne suffira même pas à vous montrer 40% du gameplay du jeu, mais heureusement les bases suffisent. Mélange entre jeu d'adresse, de réflexion et de tactical-RPG. L'originalité du gameplay fait de Knights in the Nightmare un titre unique. On regrettera cependant la trop grande complexité du gameplay, et en plus parfois trop approximatif au niveau des contrôles du stylet. La note aurait pu être bien plus haute sans l'aspect redondant.
Bande son
17/20
Magistrale, ce mot seul suffit à décrire le travail du compositeur Shigeki Hayashi dans cet ost riches de morceaux magiques. La plupart des thèmes resteront en mémoire. Et on peut citer beaucoup de titres qui se démarquent (Maria et Mellia sortie, tous les thèmes de boss). On saluera l'originalité d'avoir un thème pour chaque boss, chose rare sur Nintendo DS. Les quelques doublages que l'on a en Anglais ne sont pas assez marquants, mais mettent dans l'ambiance et n'empèchent pas de faire de cette ost une des meilleures du genre.
Durée de vie
13/20
Il suffira de moins de 15 heures pour terminer une première fois le jeu, c'est assez court, mais il est possible de faire un newgame + avec une autre héroïne, et aussi débloquer la bonne fin. La motivation ne sera peut-être plus là pour la plupart, mais je conseille toutefois de refaire une seconde fois le scénario, pour en comprendre la complexité et découvrir le fin mot de l'histoire.

| Conclusion |

Knights in the Nightmare est un ovni, il invente un genre, est peu connu du public, mais il s'agit tout de même d'un excellent jeu. Une ost merveilleuse, une ambiance qui vous transporte, et un gameplay certes difficile à dompter mais qui se révèle agréable une fois pris en main, le jeu a des atouts qui peuvent plaire. Cependant l'aspect répétitif, le scénario un peu vague et une durée de vie légère peut en rebuter certains. Mais ce serait rater une expérience tout à fait nouvelle.
1520
Bons points
-Une ambiance qui vous transporte
-Une musique pour chaque boss
-Une OST de très bonne qualité dans l'ensemble
-Graphismes de très bonne facture
-Gameplay riche à en pleurer
-Des découvertes à chaque combat
-L'aspect apocalyptique et bourrin qui va plaire à certains
-Character-design peu crédible mais renversant.
-Offre du challenge si vous ne le faites pas en facile
-Plusieurs fins et un new game+ avec une autre héroïne
-La mise en scène qui revient sur les chevaliers morts au combat
-UN OVNI
Mauvais points
-Scénar rime avec faiblard
-Durée de vie légère
-Le mode easy
-Décors qui reviennent
-Terriblement répétitif et linéaire (pas de quêtes annexes)
-Très peu accessible
-Le tuto d'une HEURE
5 commentaires Voir sur le forum
New-disco
3082 posts
New-disco, Sam 3 Mar 2012 - 18:12
Ces musiques Waouh !

Sinon :

- Le reproche que je te fais à chaque fois concerne la présentation générale au début. Cette fois encore tu n'y échappe pas : C'est sur quelle console ? Surtout que tu n'as pas mis le test dans un topic DS. Tu aurait pu dire aussi qu'il était sur PSP et préciser le site. Encore une fois je pense que tu ne donne pas assez de description générale. Même si on retrouve ses informations plus loin et disperser dans le test.

- Je pense que ton test est très complet décris super bien l'ambiance et grâce à ce dernier on peut tout de suite voir à quoi on a à faire.

- Le Gameplay : Tu t'es vraiment pas mal débrouillé pour l'expliquer parce qu'on comprend très bien ... jusqu'à voir la vidéo et c'est sa qui m'a largué.

- Je pense que tu devrais essayer de mettre les points noirs à droite des atouts. Et aussi le Logo violet à droite de celui en vert et donc centrer le texte.

- Je trouve que de trouver un défaut "le mode easy" et de trouver le jeu accessible aussi c'est en contradiction à part si même le mode easy est peu accessible !

- Les notes sont je pense objective et justifiée

C'est encore un très très bon test que tu nous donnes qui permet en plus de faire découvrir des jeux que je ne connaissais pas !
Fate
6316 posts
Fate, Sam 3 Mar 2012 - 18:23
Même le mode easy est peu accessible, c'est dire...

Le logo violet, c'est un peu comme la sélection de gamekult, je ne mets que pour les jeux coups de coeurs, je préfère donc ne pas changer la mise en page pour un détail qui n'est pas dans tout les tests.

Qu'entends-tu par description générale?

Par contre mea culpa, j'ai oublié de préciser les consoles (même si y'a le logo du topic qui indique que c'est sur ds)
Demonking
2865 posts
Demonking, Sam 3 Mar 2012 - 18:26
Atlus .... ce studio est juste un gage de qualité pour quasi toutes leurs productions :sisi:

Evidemment, aucune localisation française de prévue et toutes les roms que je trouve ne fonctionnent pas è_é.

Un tactical RPG qui m'aurait permis de me faire une autre idée du genre sur DS.

Sinon, Disco a tout dit et très bon test  :super:
Dragon-blue
21032 posts
Dragon-blue, Dim 4 Mar 2012 - 21:23
Knights in the Nightmare est en fait... Un puissance 4 :trollface:
C'est un peu comme un Fire Emblem avec un gameplay encore plus développé ce jeu :sisi:
Après visionnage des vidéos : C'est un gros foutoir ce jeu xD

Citation:
Comment ne pas être émerveillé par les graphismes qui font tout droit penser à Riviera, mais en moins répétitif?

Tu te contredis :derrick:

En effet, le jeu a l'air d'avoir une putain d'ambiance et j'aime ça, dommage qu'il y ait toujours la barrière de la langue... Musiques très sympas et chara-design pas mal du tout qui me fait penser à FE7 à la sauce Atlus --> Donner un caractère à une image pour s'attacher au personnage.

Excellent test sinon, j’aurai pensé à une note finale un poil plus élevée de ta part, mais j'ai pas jouer au jeu donc je peux rien dire ^^
Lou
553 posts
Lou, Lun 5 Mar 2012 - 01:04
Déjà très bon test, très complet...

Très bonne initiative d'avoir mis des vidéos de gameplay, parce que c'est clair que ça a l'air assez complexe comme méthode. J'imagine comment tu as dû galerer pour nous l'expliquer :lol:

Après ce qui m'a séduit le plus c'est l'ambiance. De très bon OST avec des personnages plutôt bien dessinés à mon goûts. Puis l'histoire de l'esprit, c'est clair que c'est pas banal.

Je connaissais déjà le jeu un peu de nom, mais rien de précis. Je peux donc pas donner mon avis pour la note.
Puis Atlus quoi... Un signe :sisi: