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Muramasa : The Demon Blade

Muramasa : The Demon Blade - Test

Wii     Rédigé par Fate     Sam 2 Juin 2012     0 Coms et 2076 Vues
Des jeux centrés sur la mythologie japonaise, c'est assez rare. En 2D, il s'agit d'une première, sur Wii, un miracle dont tout le monde doit profiter. Le parfait exemple de ce style d'ambiance, Okami, nous amène donc à croire que Muramasa : The Demon Blade pouvait être aussi bon et atypique. Développé par Vanillaware, un studio très peu connu mais qui a également produit le jeu Odin Sphere, très semblable au niveau de l'ambiance, il est également bon de noter que Vanillaware est à l'origine est une équipe de développement issue d'un autre studio, j'ai nommé Atlus! (Je crois que j'ai déjà vu ce nom quelque part...). Beat'em all lorgnant sur l'action-RPG, et également jeu en scrolling horizontal, Muramasa surprend dès les premières secondes par le design. Il arrive à se différencier de son rival tout en restant original et en nous proposant son propre univers. Dégainez votre sabre, et préparez-vous, Shinobi !



Prenant place dans la période Edo (pour les connaisseurs), ou dans un Japon du XVIIIème siècle pour les non-initiés, Muramasa nous plonge donc dans un Japon plus vrai que nature, mais avec des démons et autres monstres de la mythologie japonaise en plus! Le jeu vous donnant le choix de deux scénario différents, donc deux personnages, vous incarnerez soit Kisuke, un ninja en quête de sa mémoire perdue, ou Momohime, une jeune femme possédée par l'âme d'un assassin sanguinaire. Chaque route sera amenée à se croiser plusieurs fois, mais les deux scénarios restent bien différents. Chaque héros sera amené à combattre des hordes de ninjas à la solde du Shogun, ou encore des démons parfois très imposants. Kisuke et Momohime auront également l'occasion de croiser d'autres personnages, qui auront parfois un impact considérable sur leur destinée. L'autre but de nos protagonistes sera de collectionner les 108 sabres Muramasa, nos héros étant tout les deux des maîtres du style Oboro Muramasa, une technique de combat particulièrement destructrice et efficace.

Le principe est bien exploité dès le départ, Vanillaware ne nous propose pas deux scénarios nuancés (comme dans Sword of Mana ou encore Fire Emblem Blazing Sword), mais deux véritables scénarios distincts. Ainsi, les boss seront différents, les lieux spécifiques, et chaque scénario a également son lot de rebondissements. Les personnages ont le mérite d'être attachants, Kisuke de par le mystère qui l'entoure, mais aussi par son courage et sa détermination. Momohime se veut un poil plus intéressante, de par l'opposition entre elle, petite princesse chétive, et l'âme de homme mauvais qui la possède, Jinkuro, ce qui rend certaines situations un peu cocasses, au vu de leur cohabitation. Cependant, et même si certains rebondissements se veulent sympathiques, le scénario global reste tout de même très léger, n'avançant que pendant les phases de boss. On a même une grosse impression de manque pendant la quasi-totalité du jeu. Et même si le tout garde un fil conducteur très cohérent, on aurait aimé en voir bien plus, surtout que le potentiel du jeu, des personnages, et de l'univers, aurait largement permis de faire un scénario bien plus étoffé.

Mais le reproche que l'on peut faire au scénario « brut », n'est pas valable pour le background, l'univers, qui repose sur un choix scénaristique assumé de bout en bout. Puiser autant de références sur la mythologie, mais aussi de l'histoire nippone est déjà une très bonne inspiration qui fait fortement penser à Okami, mais le coup de génie reste tout de même d'en faire un univers parfaitement cohérent, allant des personnages aux spécialités typiquement japonaises que l'on va découvrir dans Muramasa. Non seulement l'initié sera émerveillé par la richesse du background fourni au jeu, mais même le néophyte saura apprécier à sa juste valeur un univers travaillé, riche et fascinant. Et quand on y regarde de plus près, nous pouvons voir que les développeurs n'ont pas seulement mélangé mythe et réalité, ils ont surtout assemblés ces deux éléments pour respecter le cadre historique (Muramasa ne fabriquait pas des sabres démoniaques, comme dans le jeu, mais il existait en revanche un Muramasa Sengo qui était un forgeron de sabres très connu au XVIème siècle). Un univers qui contre-balance donc un scénario léger et bancal.

Kisuke et Momohime ont chacun une quête
et elles pourraient bien finir par se rejoindre...
Muramasa, c'est d'abord la retranscription
d'un univers et d'une histoire.




Dans les faits, Muramasa : The Demon Blade est un beat'em all en 2D, dans lequel bien sûr vous devrez vous rendre d'un point A à un point B en éliminant les ennemis qui barreront votre route, avec à chaque fin de niveau un boss à abattre et en évitant que votre barre de vie (symbolisée par une bougie), ne tombe à 0. Concentrons-nous d'abord sur le système de combat. Votre personnage peut combattre avec trois katanas, soit légers (vous frapperez plus rapidement), soit lourds (vous taperez plus fort mais moins vite). Le maniement de ces armes est très facile puisqu'il vous sera possible d'exécuter n'importe quel type de coup dès le départ. Coup en l'air, en bas, couplé avec un déplacement aérien, petit coup d'estoc, parer, concentration puis relâchement pour un coup plus puissant, il vous sera possible de tout faire depuis le tutoriel, qui vous explique parfaitement comment combattre. Le principe est tout simplement jouissif puisque vous pourrez dès lors exécuter moult combos dès les 5 premières minutes du jeu et ce, sans aucun problème puisque la maniabilité est tout simplement irréprochable. Chaque coup se fait avec une telle aisance que vous aurez fait le tour de tous les coups de base possibles. Mais dans ce cas me direz-vous, y a t'il un intérêt à continuer le jeu si on connait toutes les attaques ?

Eh bien non, car il restait encore d'autres détails dont je n'ai pas parlé (petit cachotier que je suis). En effet, chaque lame Muramasa possède un coup spécial, totalement exclusif au sabre, en pressant le bouton B, vous pourrez donc déclencher l'attaque secrète de votre épée. Vous pourrez par exemple ainsi tournoyer pendant un laps de temps pour infliger des dégats à votre ennemi, ou alors générer une attaque plus puissante verticalement. Bref, il y a 108 sabres, donc 108 techniques différentes qui diversifient le gameplay, car vous serez forcés d'acquérir de nouveaux sabres plus puissants (car ils ne peuvent être améliorés), et par conséquent de nouvelles techniques. Ensuite, avec une simple touche, vous pourrez changer d'arme en plein combat, donc changer en fonction de la capacité qui vous semble le plus utile en combat. Notons au passage qu'en changeant d'épée, le héros exécutera parfois un puissant coup appellé Iai (Défouraillage en français, mais c'est bien moins classe). L'autre point important qu'il convient de préciser, c'est qu'à chaque technique utilisée, votre épée devient plus fragile et peut donc finir par se casser. Il faudra donc changer de sabre lors du combat, sachant que votre sabre cassé finira par se réparer de lui même en un court laps de temps. Vous devrez donc faire attention à la jauge de durabilité de votre épée pour ne pas vous retrouver en mauvaise posture. De quoi étoffer un gameplay déjà parfaitement bien maîtrisé.

Sans prendre 10 paragraphes pour décrire le reste du gameplay, il serait bon de décrire en revanche d'autres aspects intéressants du jeu. Sachez qu'en battant vos adversaires, vous gagnerez des points d'XP, mais aussi des « âmes ». Ces deux éléments servent à la même chose : à forger des armes. Car si les XP permettent de gagner des niveaux (d'ou l'aspect RPG), et donc des points de vie, il vous faudra un certain niveau pour forger des armes plus puissantes. Et pour cela, il vous faudra passer par le menu, et aller dans « forge » de là, vous pourrez forger de nouveaux sabres, en fonction des armes que vous possédez déjà, de votre niveau, du nombre d'âmes collectées (donc il faut battre le plus d'ennemis possible), et enfin du niveau « d'esprit » que vous possédez. Ce niveau d'esprit, vous l'augmentez en mangeant. En effet, dans Muramasa : The Demon Blade, les « boutiques » sont en fait des restaurants dans lesquels vous mangerez des spécialités du pays, qui ont toutes l'avantage d'augmenter votre « esprit », vous aurez donc l'occasion de découvrir des spécialités japonaises tout en effectuant la bonne démarche pour forger des armes plus puissantes. Et je n'ai pas encore tout décrit. Bref, vous aurez constaté que Muramasa contient un gameplay très complexe. Et malheureusement ce tableau idyllique sera gâché par les allers-retours que vous aurez à faire, parfois sans combattre un seul ennemi, pendant une bonne partie du jeu. Et sachant qu'il n'y a pas de Warp, ou presque pas pendant la durée totale du jeu (vous pourrez vous téléporter le jeu terminé une première fois), le soft contient une trop grande répétitivité qui allourdit considérablement le gameplay. Et même si ce gros point noir ne réduit pas tout le travail des développeurs à néant, il constitue certainement le plus gros défaut de Muramasa.

Le gameplay permet de nombreux combos
grâce aux différents sabres
Mais attention à ne pas trop en user,
sinon votre sabre se brisera.




On pouvait connaître le style de graphismes dont étaient capables les petits gars de Vanillaware, mais ils se sont apparement dépassés pour Muramasa, car le jeu est à ce jour peut-être le plus beau soft en 2D de la console de Nintendo. Tout d'abord, il serait tout à fait juste de parler des décors, tout simplement sublimes. Qu'un petit rayon de lumière passe aux travers des branches de cerisiers, qu'une légère brume s'installe lorsqu'on pénètre dans les sources chaudes, ou que l'on parcoure des plaintes rayonnantes et lumineuses, puis en combattant des hordes de ninjas ou encore des monstres avec un coucher de soleil en fond, le tout fait preuve d'un travail tout simplement ahurissant de bout en bout, et il sera très difficile de ne pas tomber sous le charme. Et même en passant devant des autels religieux, ou encore des forteresses typiques de l'époque, on ne peut que constater que la technique est en totale adéquation avec l'univers auquel Muramasa fait référence. Détaillés au possible et tellement agréables à regarder, vous ne cesserez d'être fascinés en les observant pendant vos allers-retours. Un compliment à double tranchant puisque ces nombreux déplacements auront tendant à les rendre répétitifs, même si les environnements changent régulièrement et restent en nombre très honorable.

Si les décors sont excellents, il convient également de souligner tout les efforts qui ont été fournis en ce qui concerne tout le reste. A commencer par le character-design, soigné, que ce soit pour le bestiaire ou pour les personnages, il n'y a rien à redire. Et c'est encore plus le cas pour les boss, plus gigantesques et travaillés les uns que les autres. Car vous ferez parfois face à des colosses, que ce soit dans le scénario de Kisuke ou celui de Momohime. Enfin, il serait intéressant de parler des animations de combats, diversifiées et incroyablement fluides, si bien que l'on a vraiment l'impression de contrôler un véritable ninja, et non pas un pseudo combattant qui tape à 2 secondes à l'heure. Et l'écran peut bien crouler sous les effets dévastateurs des attaques, il n'y a aucun ralentissement sous le feu de l'action. Bref, rapidité et tension sont les maîtres mots pour les combats, tandis que contemplation et découverte sont ceux des décors. Une différence qui se ressent notamment au travers des graphismes. Le jeu leur doit d'ailleurs une bonne partie de sa réussite.

Une des multiples vues magnifiques
que l'on peut observer dans Muramasa
Les boss seront souvent très
impressionnants, de véritables colosses!




Dans le pur style japonais, Hitoshi Sakimoto nous compose une OST de toute beauté. Egalement connu pour avoir composé des OST telles que celles de Valkyria Chronicles, Tactics Ogre ou encore Final Fantasy XII, ou encore FFTacticsA2 : Grimoire of the Rift, le compositeur nous dévoile une fois de plus son talent au travers des différentes musiques du jeu, toutes plus dépaysantes et immersives les unes que les autres. Avec une instrumentation tout à fait magistrale, les musiques dépeignent l'univers de Muramasa avec une extrême justesse et une beauté presque insolente, et ce, dès les premières secondes du jeu. Que ce soit les thèmes des différents lieux que vous traverserez (Dim Twilight), les thèmes de boss (pour beaucoup excellents, comme le premier), et le reste, on est plongés dans une ambiance unique du début à la fin, qui change régulièrement, épique et percutante dans les combats de boss, douce et relaxante dans les environnements...Un régal rarement égalé sur Wii qui plus est. Notons également l'apport important des doublages du jeu, très présents puisque que les dialogues sont entièrement doublés lors des phases de boss, qui représentent une bonne partie de l'avancée scénaristique du jeu, qui sont en japonais. On évite donc les doublages anglais et autres qui auraient vraiment réduits à néant tout l'univers de Muramasa. Un autre franc succès.

La ou ça l'est un peu moins, c'est sur la durée de vie. Car Muramasa offre une expérience de jeu, à première vue, assez courte. Il faut environ sept à huit heures pour finir chaque scénario, ce qui correspond donc à une quinzaine d'heures de jeu au final. Cela peut certes paraître court, mais le jeu contient pas mal d'à cotés qui permettent de contre-balancer ce bilan assez léger. Tout d'abord la quête des 108 sabres Muramasa à collectionner, et ils en valent la peine, car c'est en les trouvant tous que vous pourrez débloquer des fins alternatives. Certains s'obtiennent simplement en les forgeant, mais certains se cachent dans des cavernes, protégées par des gardiens assez redoutables. Vous en aurez donc pour votre argent. Et mine de rien, le jeu possède une replay value, grâce à ses trois modes de difficultés, dont un complètement hardcore et abusé qui consiste à faire l'aventure avec 1 seul PV, qui s'appelle le mode Shigurui, qui constitue un challenge bien plus relevé que le mode Muso (facile pour les débutants) et Shura (difficile), mais dans l'ensemble, le jeu est loin d'être insurmontable, les boss sont très abordables et il n'y a pas du tout besoin de levelling, vu que vous n'avez pas d'augmentation de statistiques. On regrettera juste une durée de vie artificielle en ce qui concerne les nombreux allers-retours du jeu, bien trop présents, malheureusement.


Muramasa: The Demon Blade contient des musiques superbes qui agrémenteront votre voyage

Scénario
14/20
Peu de gens accorderont de l'importance au scénario qui n'est qu'un prétexte pour botter l'arrière-train des méchants et pour enterrer les monstres. Cependant on saluera le background travaillé en ce qui concerne la restitution des éléments mythologiques issus de la culture japonaise, ce qui fait tout le charme de l'univers de Muramasa. De plus les deux scénarios sont complémentaires pour comprendre le scénario dans son entièreté et les plusieurs fins débloquables sont des plus non négligeables.
Graphismes
19/20
Magnifique, c'est le mot qui viendrait à l'esprit de n'importe qui regardant les graphismes de Muramasa. Des décors et un design inspiré de la tradition japonaise, des monstres tout droit sortis de la mythologie nippone. Muramasa est avec Okami, un des jeux proposants les graphismes les plus époustouflants et les plus originaux. On déplorera une lègère répétition des environnements, mais cette 2D figurera parmi les meilleures de la Wii si ce n'est la meilleure. Un excellent résultat au vu du talent des gars de Vanillaware. Soyez prêts à en avoir plein la vue!
Jouabilité
16/20
Les possibilités qu'offrent le gameplay dès le départ sont tout simplement hallucinantes. Le tout est étonnament fluide dès le départ, et est très agréable à jouer tout le long. Le fait de changer de sabre en combat apporte une petite touche stratégique intéressante et rend les affrontement nerveux et joussifs. Le système de forge est assez intéressant, demandant d'aller dans les « boutiques » du jeu. Mais le hic réside dans les allers-retours franchement soulants et largement dispensables, c'est d'ailleurs ce qui éloigne le gameplay d'une meilleure note. Ces trajets rendent le jeu encore plus répétitif, alors qu'il ne l'était pas spécialement. Au final, un bon gameplay étonnament bien maîtrisé en ce qui concerne les combats, mais qui souffre d'une grosse faiblesse en terme de progression dans le jeu.
Bande son
17/20
En s'inspirant de la tradition japonaise, Hitoshi Sakimoto a réalisé cette OST de main de maître en nous offrant des petites perles en matière de musiques. Les thèmes des boss roxxent du poney, les développeurs ont eu également la très bonne idée de garder les doublages japonais d'excellente facture, totalement indispensables à l'immersion. Parmi les chefs-d'oeuvre d'ordre musical, on peut citer le premier et le troisième boss battle theme. Mais les autres thèmes accompagnant le joueur sont aussi très relaxants et enivrants, qui changent agréablement de ton dès qu'un combat s'enclenche. Non seulement bien composée, l'OST met la barre très haut sur Wii.
Durée de vie
15/20
Sachant qu'il y a deux scénarios différent d'environ 7 heures chacun, vous pouvez tabler sur une quinzaine d'heures pour les finir une première fois, et même si c'est un peu léger, cela reste très correct dans la mesure ou il y a deux fins à débloquer pour chaque scénario, un autre mode de difficulté et 108 sabres à collectionner. Pour un jeu du genre, la durée de vie finale est tout ce qu'il y a de plus correct. Les différents modes de difficulté font quand à eux honneur à leur nom, en proposant des challenges différents, ce qui augmente la replay value de Muramasa. Et même si le scénario principal se veut un peu court, la durée de vie post-game compense largement ce manque.

| Conclusion |

Muramasa : The Demon Blade est proche du pur bijou vidéoludique. Tableau onirique de la mythologie japonaise, composé d'un gameplay unique, dynamique et jouissif, et d'une bande-son du tonnerre, ce jeu a tout pour plaire et trouvera certainement son public. Alors que les excellents jeux originaux sur Wii se font rares, Muramasa s'impose comme un des pilliers du genre, même si le jeu possède quelques parties moins parfaites. Dégainez votre katana et préparez-vous à l'aventure qui vous attend, vous ne serez pas déçus.
1720
Bons points
-Graphismes sublimes
-OST de toute beauté
-Univers maîtrisé, profond et immersif
-Maniabilité au top
-Deux scénarios
-Action nerveuse et très dynamique
-Les boss
-Les doublages japonais
-Plusieurs fins intéressantes
Mauvais points
-Allers-retours pénibles
-Scénario léger
-Scénarios courts
-Répétitif
5 commentaires Voir sur le forum
New-disco
3082 posts
New-disco, Sam 2 Juin 2012 - 22:29
Encore une fois un excellent test, avec une très jolie présentation. Pour la police d'écriture, je pense que tu aurais pu mettre le contour en 1 px et puis c'est très rouge, après ce n'est que mon avis personnel.

Parlons maintenant du fond :

- J'ai tout lu et je n'ai vraiment pas grand chose à dire à par que ton test est très bon et que bah... c'est tout.
Par contre sur l'introduction, je trouve bizarre le commencement, c'est pas super esthétique :sisi: .

- Fidèle à moi même, je me mets dans la peau d'un débutant et ... J'ai rien compris sur l'époque chinoise ou japonaise :sisi: Pense lecteur idiot !

- Je pense que à la place de mettre : Fins intéressantes, tu n'aurais du rien mettre car c'est inclus dans 2 scénarios.

- Je l'avais déjà dit dans un test de je ne sais plus qui mais : ne commence jamais la conclusion par une phrase négative si ta note est bonne ou très bonne. Ca donne une mauvaise idée du jeu.

- Très bonne mise en forme et plein de bonne tournure de phrase que je retiens. Bref, encore un excellent test.
Fate
6316 posts
Fate, Sam 2 Juin 2012 - 22:38
Merci pour tes commentaires, je prends note et je corrige, notamment sur mon délire sur le contexte historique :sisi: (c'était plus fort que moi) et le début de la conclu, que j'édite sur le champ.

Je tiens néanmoins à revenir sur les "fins" que tu cites, ce n'est pas lié au fait qu'il y ait deux scénarios, mais parce qu'il y a des fins alternatives très intéressantes, que ce soit dans le scénario de Kisuke ou celui de Momohime, il me fallait donc bien séparer ces points là.

Sinon merci pour tes commentaires, j'invite d'ailleurs les autres à poster leurs avis, critiques ,etc, car après des heures de travail, ça fait toujours plaisir d'avoir des réactions.
New-disco
3082 posts
New-disco, Sam 2 Juin 2012 - 22:55
Oui, je suis totalement d'accord avec Fate, mais le fait de passer beaucoup de temps sur un test, les gens ne s'en rendent compte que lorsqu'ils essaient de faire le leur. Ils commentent en fonction de leurs goûts et c'est bien dommage.
Dragon-blue
21034 posts
Dragon-blue, Mar 5 Juin 2012 - 01:26
Excellent test, digne de toi. Lui, ainsi que les autres, sont loin d'êtres inintéressants sinon il y aurait bien longtemps que je me serais arrêté de les lire et de les commenter. Tu es un rédacteur de talent, et je ne veux pas que tu penses que ton travail ne sert à rien, car c'est juste faux. Tout sujet sur le forum, qu'il soit fiche ou test, jeu ou news, vidéo ou flood, a une importance. Qu'elle soit améliorer notre position dans les moteurs de recherche, renforcer les liens entre chaque membre, nous faire une réputation, ou même pour rendre service à un internaute qui ne reviendra sans doute jamais sur notre forum. Dire que c'est inutile est faux. Si tu as le même but que moi, tu comprendras certainement pourquoi je dis ça. Après arrivent plusieurs problèmes qui peuvent grandement démotiver un travail de plusieurs heures. Contrairement à ce que tu penses, ce n'est pas entièrement la faute de la communauté. Certes ça l'est, mais pas seulement. Avec ce problème est rajouté le fait qu'on soit très peu d'actifs sur le forum. Il faut des nouveaux, seulement on en a de moins en moins, et c'est pire pour les membres actifs. Alors doit-on obliger les membres actuels à commenter contre leur grès ? Je ne pense pas que ce soit la meilleure des solutions. la solution n'est pas simple en elle-même mais on ne peut constater qu'une seule chose : c'est qu'elle lie 3 éléments importants : les membres actuels, les futurs membres et celui qui fait le travail. Il faut que les 3 aient consciences de la situation, ça suffira pour faire avancer les choses. Car oui cette situation peut changer, uniquement si tout le monde y met du sien. Comment y mettre du sien ?

Les sujets sans réponse, il y en a plus de 400 sur le forum. Un forum est par définition un endroit fait pour discuter sur des sujets divers et variés, les sujets ne sont pas par nature des objets de décoration qu'il ne faut pas toucher. Or, c'est ce que nous avons fait rentrer dans la tête de chacun des membres avec notre doctrine de la perfection et du site/forum. Car là est le plus important de tout mon putain de raisonnement. Un sujet est accompli, non pas quand il est parfait, mais quand il a une REPONSE. Les sujets sans réponse ont beaucoup moins d'utilité qu'un sujet actif, et savez-vous pourquoi ? Parce que nous sommes sur un forum, et le point le plus important d'un forum, c'est la discussion et les liens entre chacun des membres. Ces liens ne se font qu'avec les sujets. La chatbox peut donc y nuire, c'est pourquoi j'étais quelques fois pour sa suppression, même si il y a beaucoup de points négatifs à coté. A coté de ça, nous avons les gens que je qualifie de vautours, par exemple ceux qui restent en invité pour nous espionner sans se connecter, ou alors qui se connectent et qui ne postent pas, ou encore qui trainent sur la chatbox uniquement, ayant chacun pour unique but de nous voir crever et de le savourer. Il faut passer au dessus d'eux et être plus intelligent, ça passe donc par le forum et par les liens créés par les sujets et leur discussion. Il faut leur montrer que nous sommes forts, soudés et que rien ni personne ne peut nous arrêter. Un forum avec ses sujets qui bident prouve en partie une faiblesse importante et un manque de passion.

Notre principal moteur est notre passion en Nintendo, nous dépendons d'eux vu que notre passion s'estompera si Big N commence à faire de la merde. Cependant, si jamais Nintendo entre en âge d'or, la passion va revenir chez les membres et le forum va lui aussi arriver au meilleur de sa forme. C'est pourquoi l'E3 est primordial pour remotiver les troupes. C'est sans doute aussi ce qui explique pourquoi le mois de Juin est souvent un de nos meilleurs en terme d'activité. Voilà, j'ai exposé les faits et ma façon de penser. Maintenant, libre à toi de démissionner de ton poste de rédacteur si tu trouves que c'est inutile. Moi je te dirai seulement que c'est dommage.
sirluffy
168 posts
sirluffy, Dim 10 Juin 2012 - 18:59
super ton test sans compter les music fun :afro: